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Classification (env 37 espèces, 14 genres).
Mammifères-Euthériens-Carnivores-Félidés
(Tigre, lion, pumas, lynx, jaguars, léopards, chats sauvages... )
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Genre |
Espèces representatives |
Description |
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Acinonys
(1 espèce)
L’image montre un guépard courant à grande vitesse sur une plaine
herbeuse. Son corps élancé et ses pattes étendues illustrent parfaitement
son agilité et sa puissance. Le pelage tacheté est bien visible, et
l’arrière-plan composé d’herbes sèches et de buissons clairsemés évoque un
environnement de savane. Cette scène met en valeur les adaptations physiques
du guépard pour la course, notamment sa silhouette fuselée et ses longues
jambes.
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Acinonyx jubatus — Le guépard
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Taille Le guépard mesure entre 110 et 150 centimètres de
long sans la queue, qui ajoute 60 à 80 centimètres. Sa hauteur au garrot est
d’environ 75 à 90 centimètres. Le poids varie de 35 à 65 kilogrammes selon
le sexe et la sous-espèce.
Distribution Le guépard est principalement présent en Afrique
subsaharienne, notamment dans les savanes ouvertes du Kenya, de Tanzanie, de
Namibie, du Botswana et d’Afrique du Sud. Une petite population asiatique
subsiste en Iran. Historiquement, son aire de répartition couvrait une
grande partie de l’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Inde, mais elle a
fortement régressé.
Description Acinonyx jubatus est un félin élancé, à la silhouette
fine et musclée, adapté à la course rapide. Son pelage est fauve tacheté de
noir, avec deux lignes noires caractéristiques descendant des yeux vers la
bouche appelées « larmes ». Il possède de longues pattes, une colonne
vertébrale souple, des griffes semi-rétractiles et un cœur puissant. Sa tête
est petite, ses oreilles courtes et son regard perçant.
Comportement et vie de couple Le guépard est diurne, actif surtout
le matin et en fin d’après-midi. Il chasse à vue, en utilisant sa vitesse
fulgurante pour capturer des proies comme les gazelles, les lièvres ou les
oiseaux. Les femelles sont solitaires sauf lorsqu’elles élèvent leurs
petits. Les mâles peuvent former des coalitions fraternelles stables, ce qui
augmente leur succès territorial. L’accouplement est bref et sans lien
durable entre partenaires. La femelle élève seule ses petits, les cachant
dans la végétation et les déplaçant régulièrement pour éviter les
prédateurs.
Particularités Le guépard est l’animal terrestre le plus rapide,
capable d’atteindre 100 à 115 km/h sur de courtes distances. Contrairement
aux autres félins, il ne rugit pas mais émet des sons variés comme des
miaulements, des ronronnements et des sifflements. Il possède une faible
variabilité génétique, ce qui le rend vulnérable aux maladies et aux
perturbations environnementales. Sa stratégie de chasse repose sur la
vitesse plutôt que sur la force ou la discrétion. Il est souvent évincé par
des prédateurs plus puissants comme les lions ou les hyènes.
Dangerosité Le guépard est non agressif envers l’humain et ne
représente aucun danger dans des conditions normales. Il est timide, évite
le contact et ne défend pas son territoire contre les humains. En captivité,
il peut être apprivoisé mais reste un animal sauvage. Sa menace principale
vient de la perte d’habitat, du braconnage et de la fragmentation génétique.
Il est classé comme vulnérable par l’UICN et fait l’objet de programmes de
conservation dans plusieurs pays. |
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Caracal
(1 espèce)
L’image montre un caracal en plein saut au-dessus d’un paysage sec et
herbeux. Son pelage brun-roux, ses longues pattes et ses oreilles ornées de
touffes noires sont bien visibles, soulignant son agilité et sa puissance.
L’arrière-plan flou composé de végétation et de sol aride évoque un habitat
de savane ou semi-désertique. Le mouvement du caracal et son regard
concentré mettent en valeur ses capacités de chasseur. |
Caracal caracal — Le Caracal
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Taille Le caracal mesure entre 60 et 90 centimètres de long
sans la queue, qui ajoute environ 25 à 30 centimètres. Sa hauteur au garrot
est de 40 à 50 centimètres. Le poids varie de 8 à 20 kilogrammes selon le
sexe, les mâles étant plus grands que les femelles.
Distribution Le caracal est présent dans une large zone couvrant
l’Afrique subsaharienne, l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et certaines
régions d’Asie centrale. Il fréquente les savanes, les zones
semi-désertiques, les forêts sèches et les collines rocheuses. Il évite les
zones tropicales humides et les forêts denses.
Description Caracal caracal est un félin de taille moyenne, au
pelage uniforme fauve à brun-roux, parfois plus clair sur le ventre. Il
possède de longues pattes, une silhouette élancée et une tête fine. Ses
oreilles sont longues, noires à l’arrière, surmontées de touffes de poils
noirs caractéristiques. Son regard est perçant, ses griffes rétractiles, et
sa dentition adaptée à la prédation.
Comportement et vie de couple Le caracal est solitaire et
territorial. Il est principalement nocturne ou crépusculaire, mais peut être
actif de jour dans les zones peu fréquentées. Il chasse à l’affût ou en
poursuite courte, capturant des proies variées comme des rongeurs, des
oiseaux, des lièvres ou des petits ongulés. Il est capable de sauts
spectaculaires pour attraper des oiseaux en vol. La reproduction est
saisonnière ou opportuniste selon les régions. Le mâle ne participe pas Ã
l’élevage. La femelle élève seule ses petits, généralement deux à quatre,
dans un abri discret. Les jeunes restent avec elle plusieurs mois avant de
devenir indépendants.
Particularités Le caracal se distingue par ses capacités de saut
exceptionnelles, pouvant atteindre plus de 3 mètres en hauteur. Ses oreilles
à touffes noires sont utilisées pour la communication visuelle et
l’orientation sonore. Il est très discret, difficile à observer dans la
nature. Il peut survivre longtemps sans eau, tirant l’humidité de ses
proies. Il est parfois utilisé comme animal de chasse dans certaines
cultures traditionnelles. Son nom vient du turc « karakulak » qui signifie «
oreilles noires ».
Dangerosité Le caracal est non dangereux pour l’humain dans des
conditions normales. Il évite le contact et ne montre pas d’agressivité
spontanée. En captivité, il peut être apprivoisé mais reste imprévisible. Il
n’est pas considéré comme une menace pour les populations humaines. Les
conflits surviennent parfois avec les éleveurs lorsqu’il attaque des
volailles ou de petits animaux domestiques. Il est protégé dans plusieurs
pays et fait l’objet de mesures de conservation en raison de la
fragmentation de son habitat. |
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Catopuma
(2 espèces) L’image montre deux
représentations du chat de Temminck dans un environnement forestier. En
haut, l’animal arbore un pelage fauve clair et marche sur un sentier boisé.
En bas, le même félin est illustré avec une robe sombre presque noire dans
un décor similaire. Les deux individus ont une morphologie identique, ce qui
souligne la variation de couleur au sein de l’espèce Felis temminckii.
Le texte mentionne "Chat de Temminck", "Chat bai" et le nom scientifique
répété pour les deux formes. |
Catopuma temminckii — Chat de Temminck,
ou chat doré d'Asie)
Catopuma badia — Chat bai de Bornéo
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Taille Les félins du genre Catopuma mesurent entre
50 et 90 centimètres de long sans la queue, qui ajoute environ 30 à 50
centimètres. Leur hauteur au garrot est d’environ 35 à 45 centimètres. Le
poids varie de 3 à 12 kilogrammes selon l’espèce et le sexe.
Distribution Le genre Catopuma comprend deux espèces
asiatiques : Catopuma temminckii (chat de Temminck ou chat doré
d’Asie) et Catopuma badia (chat bai de Bornéo). C. temminckii
est présent dans les forêts tropicales et montagneuses du sud-est asiatique,
notamment en Chine, au Népal, en Birmanie, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam
et en Malaisie. C. badia est endémique de Bornéo, limité aux forêts
humides de l’île.
Description Ces félins sont de taille moyenne, au corps musclé et
aux pattes robustes. Catopuma temminckii possède un pelage roux Ã
brun doré, parfois gris, avec peu ou pas de marques visibles. Catopuma
badia est plus petit, au pelage brun foncé uniforme, avec une queue
épaisse et une tête arrondie. Les deux espèces ont des oreilles courtes, des
yeux clairs et une dentition adaptée à la prédation. Leur apparence rappelle
celle du puma miniature, bien qu’ils soient phylogénétiquement plus proches
des chats asiatiques.
Comportement et vie de couple Ce sont des félins solitaires,
discrets et principalement nocturnes. Ils chassent à l’affût ou en
embuscade, capturant des oiseaux, des rongeurs, des reptiles et parfois de
petits cervidés. Ils marquent leur territoire par des griffades, des urines
et des vocalisations discrètes. La reproduction est peu documentée mais
semble saisonnière. Le mâle ne participe pas à l’élevage. La femelle met bas
dans un abri forestier, généralement un à trois petits, qu’elle élève seule
pendant plusieurs mois.
Particularités Le genre Catopuma est rare et difficile Ã
observer. C. badia est l’un des félins les plus énigmatiques au
monde, avec très peu de données sur son écologie. Les deux espèces sont
adaptées à la vie en forêt dense, avec une excellente capacité de camouflage
et d’escalade. Leur rôle écologique est celui de prédateur intermédiaire,
régulant les populations de petits vertébrés. Ils sont menacés par la
déforestation, le braconnage et la fragmentation de leur habitat.
Dangerosité Les félins du genre Catopuma sont totalement
inoffensifs pour l’humain. Ils évitent le contact, ne montrent pas
d’agressivité spontanée et ne représentent aucun danger dans leur habitat
naturel. En captivité, ils restent farouches et peu adaptés à la
domestication. Leur conservation est prioritaire dans les programmes de
protection des forêts asiatiques. |
Felis
(6 espèces)
La première image montre deux félins dans un environnement
herbeux. En haut, le chat domestique (Felis catus) est représenté
avec une silhouette fine et un pelage uniforme. En bas, le chat sauvage
européen (Felis silvestris) présente une morphologie plus robuste,
un pelage plus épais et une queue annelée, soulignant les différences entre
espèces domestiquées et sauvages.
La seconde image illustre deux petits félins adaptés aux milieux arides. En
haut, le chat des sables (Felis margarita) est capturé en plein
saut, avec un corps léger et un pelage pâle. En bas, le chat à pieds noirs (Felis
nigripes) avance prudemment sur un sol sablonneux, avec un pelage
tacheté et une stature compacte. Les deux images mettent en évidence les
contrastes morphologiques et comportementaux entre espèces domestiques,
sauvages et désertiques. |
Felis catus — Chat domestique
Felis silvestris — Chat sauvage européen
Felis margarita — Chat des sables
Felis nigripes — Chat à pieds noirs
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Taille Les félins du genre Felis sont de petite
taille, mesurant entre 40 et 80 centimètres de long sans la queue, qui
ajoute 25 à 35 centimètres. Leur hauteur au garrot varie de 20 à 40
centimètres. Le poids se situe généralement entre 2 et 8 kilogrammes selon
l’espèce, le sexe et le milieu.
Distribution Le genre Felis est largement réparti en
Eurasie et en Afrique. Il comprend des espèces comme le chat sauvage
européen (Felis silvestris), le chat des sables (Felis
margarita), le chat de jungle (Felis chaus) et le chat
domestique (Felis catus). Ces félins occupent des milieux variés :
forêts tempérées, steppes, déserts, zones montagneuses, savanes et milieux
anthropisés.
Description Les espèces du genre Felis ont une morphologie
discrète et agile, avec un corps souple, des pattes courtes, une tête
arrondie et des oreilles dressées. Leur pelage varie selon l’espèce :
tacheté, rayé, uni ou moucheté, souvent adapté au camouflage. Ils possèdent
des griffes rétractiles, une dentition carnassière et une excellente vision
nocturne. Leurs sens sont très développés, notamment l’ouïe et l’odorat.
Comportement et vie de couple Ce sont des animaux solitaires et
territoriaux. Ils chassent principalement à l’affût, de jour ou de nuit
selon l’espèce, en capturant des proies de petite taille comme des rongeurs,
des oiseaux, des reptiles ou des insectes. Le marquage du territoire se fait
par l’urine, les griffades et les vocalisations. La reproduction est
saisonnière ou opportuniste. Le mâle ne participe pas à l’élevage. La
femelle met bas dans un abri discret, généralement deux à cinq petits,
qu’elle élève seule pendant plusieurs semaines. Les jeunes deviennent
indépendants après quelques mois.
Particularités Le genre Felis regroupe les félins les plus
proches du chat domestique. Certaines espèces comme Felis silvestris
peuvent s’hybrider avec Felis catus, ce qui pose des enjeux de
conservation génétique. Le chat des sables est adapté aux milieux
désertiques, avec des coussinets épais et une résistance à la chaleur. Le
chat de jungle est semi-aquatique et peut nager pour chasser. Le genre
présente une grande plasticité écologique, capable de s’adapter à des
milieux très divers, y compris urbains.
Dangerosité Les félins du genre Felis sont inoffensifs
pour l’humain dans leur état sauvage. Ils évitent le contact et ne
représentent aucun danger direct. Le chat domestique peut transmettre
certaines zoonoses comme la toxoplasmose ou la rage dans des cas rares, mais
ces risques sont bien maîtrisés. Les espèces sauvages sont parfois menacées
par la fragmentation de leur habitat, le braconnage ou l’hybridation. Leur
présence est bénéfique pour la régulation des populations de petits animaux. |
Leopardus
(9 espèces)
La première image montre deux félins sauvages dans une forêt dense.
En haut, l’ocelot (Leopardus pardalis) avance sur un sol feuillu
avec son pelage tacheté et sa silhouette musclée. En bas, le margay (Leopardus
wiedii) est plus petit et plus élancé, avec un motif de pelage
similaire mais une posture plus souple, soulignant son agilité arboricole.
La seconde image présente également deux félins du genre Leopardus.
En haut, une oncille identifié comme Leopardus tigrinus marche sur
une branche dans un décor forestier, avec une longue queue et un pelage
tacheté. En bas, le chat des Andes (Leopardus jacobitus) est
représenté sur un terrain herbeux, avec une morphologie plus trapue et une
queue plus courte, adaptée aux milieux montagneux. Les deux illustrations
comparent les variations morphologiques et écologiques entre espèces
proches. |
Leopardus pardalis — Ocelot
Leopardus wiedii — Margay
Leopardus tigrinus — Oncille
Leopardus jacobitus — Chat des Andes
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Taille Les félins du genre Leopardus sont de
petite taille. Leur longueur corporelle varie de 40 à 80 centimètres sans la
queue, qui ajoute entre 20 et 40 centimètres. Leur hauteur au garrot est
d’environ 25 à 40 centimètres. Le poids moyen se situe entre 2 et 16
kilogrammes selon l’espèce, les mâles étant généralement plus lourds que les
femelles.
Distribution Le genre Leopardus est exclusivement
néotropical. Il regroupe des espèces présentes en Amérique centrale et en
Amérique du Sud, depuis le Mexique jusqu’à l’Argentine. Ces félins occupent
une grande variété de milieux : forêts tropicales humides, savanes, zones
montagneuses, marécages, pampas, et parfois des milieux semi-désertiques.
Certaines espèces comme Leopardus colocola vivent à haute altitude
dans les Andes.
Description Les félins du genre Leopardus possèdent un
corps souple, une tête arrondie, des oreilles dressées et un pelage tacheté
ou rayé selon l’espèce. Leur robe varie du beige clair au brun foncé,
souvent ornée de rosettes, de bandes ou de points noirs. Leurs yeux sont
adaptés à la vision nocturne, leurs griffes sont rétractiles et leur
dentition est typique des carnivores. Ils sont agiles, discrets et bien
adaptés au camouflage dans la végétation dense.
Comportement et vie de couple Ce sont des animaux solitaires et
territoriaux. Ils sont principalement nocturnes ou crépusculaires, bien que
certaines espèces soient actives de jour dans les zones peu fréquentées. Ils
chassent à l’affût ou en embuscade, capturant des proies variées comme des
rongeurs, des oiseaux, des reptiles, des amphibiens et parfois des insectes.
Le marquage du territoire se fait par l’urine, les vocalisations et les
griffades. La reproduction est saisonnière ou opportuniste selon le climat.
Le mâle ne participe pas à l’élevage. La femelle met bas dans un abri
discret, généralement un à trois petits, qu’elle élève seule pendant
plusieurs mois.
Particularités Le genre Leopardus comprend plusieurs
espèces remarquables comme Leopardus pardalis (ocelot),
Leopardus wiedii (margay), Leopardus tigrinus (oncille) ou
Leopardus jacobita (chat des Andes). Le margay est exceptionnellement
adapté à la vie arboricole, capable de descendre les arbres tête en bas
grâce à ses chevilles flexibles. Le chat des Andes est l’un des félins les
plus rares et les moins étudiés au monde. Certaines espèces sont menacées
par la déforestation, le braconnage et la fragmentation de leur habitat. Le
genre présente une grande diversité écologique et comportementale.
Dangerosité Les félins du genre Leopardus sont totalement
inoffensifs pour l’humain. Ils évitent le contact et ne montrent pas
d’agressivité spontanée. En captivité, ils restent farouches et ne sont pas
adaptés à la domestication. Ils ne représentent aucun danger direct pour les
populations humaines. Les conflits surviennent rarement, parfois avec les
éleveurs dans les zones rurales. Leur conservation est prioritaire dans
plusieurs pays d’Amérique latine en raison de leur rôle écologique et de
leur vulnérabilité. |
Leptailurus
(1 espèce)
Le dessin représente un serval, Leptailurus serval, marchant dans une
savane herbeuse aux teintes dorées. L’animal est élancé, avec de longues
pattes adaptées à la chasse en milieu ouvert, un pelage jaune clair parsemé
de taches noires bien définies, et des oreilles larges ornées de motifs
noirs et blancs caractéristiques. Le fond suggère un paysage africain sec,
avec une végétation clairsemée et une lumière chaude, mettant en valeur
l’élégance et la vigilance de ce félin solitaire. |
Leptailurus serval — Le Serval
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Leptailurus serval est un félin africain de taille moyenne mesurant
entre 54 et 66 cm au garrot pour un poids de 9 Ã 18 kg selon le sexe,
réparti dans les savanes humides et les zones marécageuses d’Afrique
subsaharienne, caractérisé par ses longues pattes, ses grandes oreilles et
son pelage tacheté, vivant en solitaire avec des contacts limités entre
mâles et femelles, doté d’une ouïe exceptionnelle et d’une capacité de saut
remarquable, et considéré comme non dangereux pour l’humain en milieu
naturel.
Taille Le serval mesure entre 85 et 112 cm de long hors queue, avec
une hauteur au garrot de 54 à 66 cm. Les mâles pèsent entre 12 et 18 kg, les
femelles entre 9 et 13 kg. Il possède les plus longues pattes et les plus
grandes oreilles proportionnellement à la taille du corps parmi les félins.
Distribution Leptailurus serval est présent dans toute l’Afrique
subsaharienne, notamment dans les savanes herbeuses, les marécages, les
roselières, les forêts claires et les zones de brousse. Il évite les forêts
tropicales denses et les déserts. Il est observé jusqu’à 2200 m d’altitude
dans le cratère du Ngorongoro en Tanzanie.
Description Le serval est un félin élancé au pelage fauve tacheté
de noir, avec une face ventrale blanche. Il possède une tête fine, un cou
long, des oreilles arrondies très développées et une queue courte annelée.
Son anatomie est adaptée à la chasse en milieu herbeux, avec une musculature
puissante et une agilité exceptionnelle. Il peut sauter jusqu’à 3,8 m
horizontalement sans élan
Comportement et vie de couple Le serval est solitaire et nocturne.
Chaque individu occupe un territoire qu’il marque par l’urine. Les mâles et
les femelles se rencontrent uniquement pour l’accouplement. La gestation
dure environ 70 jours et donne naissance à 1 à 4 petits. Les jeunes restent
avec la mère plusieurs mois. Les mâles ne participent pas à l’élevage. La
longévité est de 10 à 14 ans en nature, jusqu’à 22 ans en captivité.
Particularités Le serval possède une ouïe extrêmement fine grâce Ã
ses grandes oreilles, lui permettant de localiser des proies invisibles dans
les hautes herbes. Il chasse principalement les petits rongeurs, les
oiseaux, les reptiles et les amphibiens. Il est capable de nager et
d’escalader mais le fait rarement. Des cas de mélanisme et de leucistisme
ont été observés. Il est le seul représentant du genre Leptailurus.
Dangerosité Le serval est considéré comme non dangereux pour
l’humain en milieu naturel. Il évite les contacts et n’attaque pas sauf en
cas de provocation extrême. En captivité, il peut mordre ou griffer s’il est
stressé. Il n’est pas vecteur de zoonoses majeures. Son statut de
conservation est de préoccupation mineure selon l’UICN, bien que menacé
localement par la perte d’habitat et le braconnage |
Lynx
(4 espèces)
Le dessin présente deux lynx en mouvement dans leur habitat naturel,
le premier en haut est un lynx boréal, Lynx lynx, capturé en plein saut avec
le corps étiré et les pattes tendues vers l’avant, illustrant sa puissance
et son agilité dans un environnement forestier. Le second en bas est un lynx
ibérique, Lynx pardinus, représenté en pleine foulée avec les pattes avant
allongées et les postérieures en extension, montrant sa morphologie plus
fine et son allure vive, typique des zones méditerranéennes ouvertes. |
Lynx lynx — Lynx boréal
Lynx pardinus — Lynx ibérique
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Le genre Lynx regroupe quatre espèces de félins de taille moyenne
mesurant entre 50 et 75 cm au garrot pour un poids de 8 Ã 38 kg selon
l’espèce, réparties dans les forêts, montagnes et toundras de l’hémisphère
nord, caractérisées par leur queue courte, leurs longues pattes et leurs
oreilles à pinceaux, vivant en solitaire avec une reproduction annuelle et
une forte territorialité, dotés d’une démarche silencieuse et d’une
adaptation au froid, et considérés comme non dangereux pour l’humain en
milieu naturel.
Taille Le lynx roux (Lynx rufus) pèse entre 8 et 15 kg
pour 50 Ã 60 cm au garrot. Le lynx du Canada (Lynx canadensis)
atteint 8 à 17 kg. Le lynx boréal (Lynx lynx) est le plus grand,
avec 18 à 38 kg et jusqu’à 75 cm au garrot. Le lynx ibérique (Lynx
pardinus) mesure environ 60 cm au garrot pour 10 Ã 15 kg.
Distribution Les lynx sont présents dans l’hémisphère nord.
Lynx lynx occupe l’Europe, la Russie et l’Asie centrale. Lynx
canadensis est endémique du Canada et de l’Alaska. Lynx rufus
est répandu aux États-Unis, au Mexique et au sud du Canada. Lynx
pardinus est limité à quelques zones du sud de l’Espagne et du
Portugal. Ils vivent dans les forêts boréales, les taïgas, les montagnes et
les zones de toundra boisée.
Description Les lynx ont une silhouette reconnaissable : corps
trapu, pattes longues, queue courte avec extrémité noire, oreilles
triangulaires surmontées de pinceaux noirs, favoris faciaux bien développés.
Leur pelage est épais, tacheté ou uniforme selon l’espèce et la saison. Ils
possèdent 28 dents au lieu des 30 habituelles chez les félins. Leurs
coussinets larges agissent comme des raquettes dans la neige.
Comportement et vie de couple Les lynx sont solitaires et
territoriaux. Ils marquent leur domaine par l’urine et des griffades. Ils
chassent à l’affût, principalement des lagomorphes, des rongeurs et parfois
des cervidés. La reproduction a lieu une fois par an, au printemps. La
gestation dure environ 60 à 70 jours. La femelle élève seule 1 à 4 petits,
qui deviennent indépendants après 10 mois. Les mâles ne participent pas Ã
l’élevage.
Particularités Le lynx est un chasseur silencieux grâce à ses
coussinets larges et sa démarche chaloupée. Il exerce une pression au sol
très faible, facilitant le déplacement dans la neige. Sa vision nocturne est
excellente. Le lynx ibérique est le plus spécialisé, dépendant fortement du
lapin. Le lynx boréal peut parcourir de vastes territoires. Le lynx du
Canada est adapté aux hivers rigoureux avec une fourrure dense.
Dangerosité Les lynx sont non dangereux pour l’humain. Ils évitent
les contacts et fuient à l’approche. Les attaques sont extrêmement rares et
liées à la captivité ou à des individus malades. Ils ne sont pas vecteurs de
zoonoses majeures. Le lynx ibérique est classé en danger selon l’UICN, les
autres espèces sont stables ou en expansion locale. |
Prionailurus
(4 espèces)
Le premier dessin montre un chat léopard du Bengale, Prionailurus
bengalensis, bondissant avec agilité depuis une branche dans une forêt
luxuriante, son pelage tacheté et sa silhouette élancée illustrant son
adaptation à la vie arboricole et sa vivacité dans les milieux asiatiques
humides. En dessous, le chat viverrin, Prionailurus viverrinus, avance sur
le sol forestier avec une allure plus trapue et un pelage également tacheté
mais plus dense, adapté aux zones marécageuses où il chasse principalement
des proies aquatiques.
Le second dessin présente au premier plan un chat à tête plate, Prionailurus
planiceps, au corps allongé et au pelage roux ponctué de taches sombres,
marchant sur un sol humide, avec une tête étroite et un museau allongé
indiquant une spécialisation piscivore. En arrière-plan, le chat rubigineux,
Prionailurus rubiginosus, plus petit et au pelage brun moucheté, se tient
dans la végétation dense, illustrant sa discrétion et son adaptation aux
forêts sèches et aux zones rocheuses du sous-continent indien. |
Prionailurus bengalensis — Chat léopard du Bengale
Prionailurus viverrinus — Chat viverrin
Prionailurus planiceps — Chat à tête plate
Prionailurus rubiginosus — Chat rubigineux
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Le genre Prionailurus regroupe plusieurs petits félins asiatiques
mesurant entre 35 et 85 cm de long pour un poids de 1 Ã 15 kg selon
l’espèce, répartis dans les forêts tropicales, les mangroves et les zones
humides d’Asie du Sud et du Sud-Est, caractérisés par leur pelage tacheté,
leur adaptation au milieu aquatique pour certaines espèces, leur
comportement solitaire et territorial, une reproduction discrète avec soins
maternels prolongés, et une dangerosité nulle pour l’humain en milieu
naturel.
Taille Les espèces du genre Prionailurus varient fortement en
taille. Le plus petit est Prionailurus rubiginosus (chat
rubigineux) avec 35 Ã 48 cm de long pour 1 Ã 1,6 kg. Le plus grand est
Prionailurus viverrinus (chat viverrin ou pêcheur) avec 75 à 100 cm de
long pour 8 à 15 kg. Prionailurus bengalensis (chat léopard) mesure
entre 45 et 65 cm pour 2 Ã 7 kg.
Distribution Les Prionailurus sont présents dans toute l’Asie du
Sud et du Sud-Est. P. bengalensis est largement réparti de l’Inde Ã
la Corée et jusqu’à l’Indonésie. P. viverrinus est localisé dans
les mangroves et zones humides du Sri Lanka, Bangladesh, Inde et Asie du
Sud-Est. P. javanensis est endémique des îles de la Sonde. P.
planiceps (chat à tête plate) est rare et localisé en Malaisie, Sumatra
et Bornéo.
Description Les Prionailurus sont des félins de la sous-famille
Felinae, reconnaissables à leur pelage tacheté ou rayé, leur corps élancé,
leur queue courte et leurs oreilles arrondies. Leurs griffes sont
partiellement rétractiles. Le crâne est plus bas que chez Felis, avec une
face raccourcie et une bulle auditive réduite. Leurs yeux sont adaptés à la
vision nocturne. Certaines espèces ont des pattes semi-palmées et une
fourrure imperméable.
Comportement et vie de couple Les Prionailurus sont solitaires et
nocturnes. Ils marquent leur territoire par l’urine et les frottements. Les
mâles et les femelles ne se rencontrent que pour l’accouplement. La
gestation dure environ 60 à 70 jours. La femelle élève seule 1 à 4 petits,
qui restent avec elle plusieurs mois. Les jeunes apprennent à chasser avant
de devenir indépendants. La longévité est de 10 à 15 ans en captivité.
Particularités P. viverrinus est semi-aquatique,
spécialisé dans la pêche grâce à ses pattes adaptées et sa fourrure
imperméable. P. planiceps possède une tête aplatie et un museau
allongé, rare chez les félins. P. bengalensis est très adaptable et
parfois domestiqué en Asie. Le genre montre une forte diversité écologique,
allant des forêts denses aux mangroves et aux zones agricoles.
Dangerosité Les Prionailurus sont inoffensifs pour l’humain. Ils
évitent les contacts et ne présentent aucun risque sanitaire. Ils ne sont
pas vecteurs de zoonoses majeures. Certaines espèces sont menacées par la
perte d’habitat, la pollution des zones humides et le commerce illégal.
P. viverrinus est classé vulnérable par l’UICN, P. planiceps
est en danger. |
Puma
(1 espèce)
Le dessin montre un puma, Puma concolor, avançant d’un pas souple
dans un environnement forestier verdoyant, avec la patte avant droite levée
et le regard fixé droit devant, traduisant une posture alerte et maîtrisée.
Son pelage fauve met en valeur sa musculature puissante et sa silhouette
élancée, tandis que la lumière naturelle filtre à travers la végétation,
soulignant la présence discrète mais imposante de ce grand félin solitaire. |
Puma concolor — Le Puma
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Profelis
(1 espèce)
Le dessin montre un chat doré d’Afrique, Profelis aurata,
avançant avec prudence sur un sol forestier couvert de feuilles, entouré
d’une végétation dense et verdoyante typique des forêts tropicales humides.
Son pelage roux uniforme, ses yeux concentrés et sa posture basse traduisent
une discrétion et une vigilance propres aux félins solitaires, parfaitement
adaptés à la chasse et à la vie dans les sous-bois d’Afrique centrale et
occidentale. |
Profelis aurata — Chat doré d’Afrique
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Neofelis
(2 espèces)
Le dessin montre deux panthères nébuleuses évoluant dans un
environnement forestier dense, perchées sur des branches d’arbres. La
première en haut, Neofelis nebulosa, arbore une robe beige ornée de grandes
taches sombres en forme de nuages, avec une silhouette musclée et une longue
queue utilisée pour l’équilibre dans les hauteurs. La seconde en bas,
Neofelis diardi, panthère nébuleuse de Bornéo, présente une morphologie plus
fine et un pelage plus contrasté avec des motifs plus petits et plus
définis, adaptée aux forêts tropicales humides de Sumatra et Bornéo,
illustrant les différences subtiles entre ces deux espèces étroitement
apparentées. |
Neofelis nebulosa — Panthère nébuleuse
Neofelis diardi — Panthère nébuleuse de Bornéo
 |
|
Panthera
(4 espèces)
Le premier dessin montre un lion, Panthera leo, avançant dans
une savane herbeuse sous un ciel bleu parsemé de nuages, avec sa crinière
imposante et sa posture majestueuse qui évoquent puissance et autorité,
tandis qu’un tigre, Panthera tigris, se déplace au premier plan avec son
pelage rayé orange et noir, illustrant sa souplesse et sa concentration dans
un décor de savane ponctué d’acacias. Le second dessin représente un
léopard, Panthera pardus, bondissant avec agilité au-dessus du sol
forestier, son corps élancé et son pelage tacheté traduisant sa vitesse et
sa discrétion, tandis qu’un jaguar, Panthera onca, plus massif et trapu,
saute en contrebas avec un pelage tacheté plus dense et une musculature
puissante, typique des forêts tropicales d’Amérique centrale et du Sud. |
Panthera leo — Le lion
Panthera tigris — Le tigre
Panthera pardus — Le léopard, ou panthère
Panthera onca — Le jaguar
 |
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Uncia
(1 espèce)
Le dessin représente une panthère des neiges, Uncia uncia, en
plein saut au-dessus d’un terrain rocheux couvert de neige, avec son corps
allongé, ses pattes tendues et son regard concentré vers l’avant, illustrant
sa puissance et son agilité dans un environnement montagneux froid et
escarpé. Son pelage épais tacheté assure un camouflage efficace, tandis que
les flocons en arrière-plan renforcent l’atmosphère hivernale propre à son
habitat naturel d’Asie centrale. |
Uncia uncia — Panthère des neiges
 |
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Pardofelis
(1 espèce)
Le dessin montre un chat marbré, Pardofelis marmorata,
avançant prudemment sur une branche couverte de mousse dans une forêt dense
et humide, avec un pelage doré orné de larges taches sombres irrégulières
qui lui assurent un camouflage efficace. Son regard concentré et sa posture
souple traduisent une adaptation parfaite à la vie arboricole, typique des
forêts tropicales d’Asie du Sud-Est, où ce félin discret évolue
principalement la nuit. |
Pardofelis marmorata — Chat marbré
 |
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Herpailurus
(1 espèce)
Le dessin montre un jaguarondi, Herpailurus yagouaroundi,
marchant sur une surface herbeuse bordée d’un décor forestier, avec un corps
allongé et élancé, des pattes courtes et un pelage brun uniforme qui lui
confère une allure discrète et furtive. Ses oreilles arrondies et sa
silhouette basse évoquent une adaptation à la vie terrestre dans les milieux
denses d’Amérique centrale et du Sud, où ce petit félin solitaire évolue
avec agilité et prudence. |
Herpailurus yagouaroundi — Le Jaguarondi
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Les fiches
|
Nom
usuel |
Genre |
espèce |
Statut |
Photos |
Environnement principal |
Autres noms usuels |
Distribution |
|
Guépard |
Acinonyx |
jubatus |
Vulnérable |
 |
Savane |
|
Afrique Noire |
|
Caracal |
Caracal |
caracal |
Stable |
 |
Maquis, steppes, prairies |
Lynx de Perse, du désert |
Afrique, Asie du sud-Ouest |
|
Chat de
Bornéo |
Catopuma |
badia |
En
danger d'extinction |
 |
|
Chat bai |
Endémique à Bornéo |
|
Chat
doré d'Asie |
Catopuma |
temmincki |
Peu menacée |
 |
Forêts tropicales |
Chat de Temminck |
Rare, sud-est de l'Asie |
|
Chat des
sables |
Felis |
margarita |
Peu menacée |
 |
Désert |
Chat du désert |
Régions désertiques de l'Afrique et de l'Asie |
|
Chat
sauvage |
Felis |
sylvestris |
Stable |
 |
Forêts tempérées |
|
Assez rare, forêts européennes.
Rare en France. |
|
Chat Ã
pieds noirs |
Felis |
nigripes |
Vulnérable |
 |
Désert |
|
Sud de l'Afrique |
|
Chat des
marais |
Felis |
chaus |
Stable |
 |
Fleuves, rivières |
Chaus |
Sud-est de l'Asie |
|
Jaguarondi |
Puma |
yaguoaroundi |
Stable |
 |
Savane |
Eyra |
Amérique centrale et du sud |
|
Margay |
Leopardus |
wiedii |
Peu menacée |
 |
Forêts tropicales |
|
Amérique centrale et du sud |
|
Ocelot |
Leopardus |
pardalis |
Stable |
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Forêts tropicales |
|
Amérique centrale et du sud |
|
Chat-tigre |
Leopardus |
tigrinus |
Vulnérable |
 |
|
Oncille |
Amérique du Sud |
|
Serval |
Leptailurus |
serval |
Stable |
_Zoo_Itatiba_small.jpg) |
Savane |
|
Afrique Noire |
|
Lynx
commun |
Lynx |
lynx |
Stable |
 |
Forêts tempérées |
Lynx d'Europe |
Nord et centre de l'Europe |
|
Lynx
d'Espagne |
Lynx |
pardinus |
En
danger d'extinction |
 |
|
Lynx pardelle |
Très rare, seulement en Espagne |
|
Lynx du
Canada |
Lynx |
canadensis |
Stable |
 |
|
|
Canada |
|
Lynx
roux |
Lynx |
rufus |
Stable |
 |
Maquis |
|
Etats-Unis, Mexique principalement |
|
Chat du
Chili |
Leopardus |
guigna |
Vulnérable |
 |
|
"Kodkod", "Guigna" |
Endémique au Chili |
|
Chat des pampas |
Leopardus |
Pajeros |
|
 |
Prairies |
|
Amérique du Sud |
|
Chat de
Geoffroy |
Leopardus |
geoffroyi |
Peu menacée |
 |
Maquis |
|
Sud de l'Amérique du Sud |
|
Chat des
Andes |
Leopardus |
jacobita |
En
danger d'extinction |
 |
|
|
Rare, Cordillère des Andes |
|
Manul |
Otocolobus |
manul |
Peu menacée |
 |
Prairies |
Chat de Pallas |
Asie centrale |
|
Chat
marbré |
Pardofelis |
marmorata |
Vulnérable |
 |
Forêts tropicales |
|
Rare, Asie du sud-ouest |
|
Chat
viverrin |
Prionailurus |
viverrinus |
En
danger d'extinction |
 |
Mangrove |
|
Très rare, Asie du sud-ouest |
|
Chat Ã
tête plate |
Prionailurus |
planiceps |
En
danger d'extinction |
 |
Forêts tropicales |
|
Très rare, Asie du sud-ouest |
|
Chat du
Bengale |
Prionailurus |
bengalensis |
Stable |
 |
Forêts tropicales |
|
Sud-ouest de l'Asie |
|
Chat
rubigineux |
Prionailurus |
rubiginosa |
Vulnérable |
 |
Forêts tropicales |
|
Endémique à l'Inde |
|
Chat
doré d'Afrique |
Caracal |
aurata |
Vulnérable |
 |
Forêts tropicales |
|
Rare, Afrique centrale |
|
Puma |
Puma |
concolor |
Stable |
 |
Milieu montagnard |
|
USA, Mexique, Amérique centrale et du sud |
|
Chat domestique |
Felis |
catus |
Stable |
 |
Maisons |
|
Cosmopolite |
|
Panthère
nébuleuse |
Neofelis |
nebulosa |
Vulnérable |
 |
|
Panthère longibande |
Asie du sud-ouest |
|
Panthère de Bornéo |
Neofelis |
Diardi |
Vulnérable |
 |
|
Chat Diard |
Sumatra et Bornéo |
|
Jaguar |
Panthera |
onca |
Peu menacée |
 |
Forêts tropicales |
|
Amérique centrale et du sud |
|
Léopard |
Panthera |
pardus |
Peu menacée |
 |
Forêts tropicales |
Panthère |
Afrique noire et Asie |
|
Lion |
Panthera |
leo |
Vulnérable |
 |
Savane |
|
Afrique noire
& Gujarat (Inde) |
|
Tigre |
Panthera |
tigris |
En
danger d'extinction |
 |
Forêts tropicales |
|
Très rare, Asie du sud-ouest |
|
Léopard
des neiges |
Panthera |
uncia |
En
danger d'extinction |
 |
Hautes montagnes |
Once |
Très rare, Asie centrale |
|
Chat
forestier |
Felis
|
silvestris |
silvestris |
 |
|
Stable |
Espagne, Asie du sud-ouest, petite partie de l'Europe |
|
Chat ganté |
Felis |
silvestris |
lybica |
 |
Savane |
Stable |
Afrique, Arabie |
|
Chat domestique |
Felis |
silvestris |
catus |
 |
Domestiqué |
Fréquent |
Cosmopolite.
Présent en France. |
|
Chat sauvage de Corse |
Felis |
silvestris |
reyi |
|
Maquis |
|
Endémique à la Corse (France) |
|
Chat d'Iriomote |
Prionailurus |
Bengalensis |
iriomotensis |
 |
Forêts tempérées |
Au seuil de l'extinction |
Endémique à l'ile d'Iriomote (Japon) |
|
Puma de Floride |
Puma |
concolor |
coryi |
 |
Fleuves, rivières |
Au seuil de l'extinction |
Très rare, Floride |
|
Lynx de Sibérie |
Lynx |
lynx |
wrangeli |
 |
Maquis |
|
Est de la Sibérie |
|
Chat du désert de Chine |
Felis |
sylvestris |
bieti |
_in_XiNing_Wild_Zoo_small.jpg) |
|
|
Centre de la Chine |
|