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Classification (5
embranchements).
Eucaryotes- Protistes
unicellulaires-Protozoaires
(Trypanosomes, amibes...)
Description des protozoaires
Définition générale
Les protozoaires sont des organismes
unicellulaires eucaryotes dotés d’un noyau véritable. Ils constituent un groupe
de protistes hétérotrophes mobiles qui ingèrent leur nourriture par phagocytose.
10–100 µm.
Structure cellulaire et organisation
 | Présence d’organites eucaryotes (noyau,
mitochondries, parfois hydrogénosomes ou mitosomes) |
 | Absence de tissus spécialisés et
multicellularité complexe |
 | Taille généralement comprise entre 10 et 50
µm, jusqu’à près du millimètre pour certaines espèces |
Modes de locomotion
 | Pseudopodes (amiboïdes) |
 | Flagelles (flagellés) |
 | Cils (ciliés) |
 | Organites locomoteurs réduits ou absents chez
les sporozoaires |
Nutrition et reproduction
 | Nutrition par phagocytose de bactéries,
micro-algues ou débris organiques |
 | Mixotrophie chez certaines espèces (ingestion
+ photosynthèse secondaire) |
 | Reproduction asexuée majoritairement par
fission binaire |
 | Sexualité possible via isogamie, conjugaison
ou échanges génétiques |
Habitat et rôle écologique
 | Présents dans les eaux douces, milieux
marins, sols humides et environnements internes d’hôtes |
 | Régulateurs des populations bactériennes et
micro-algales |
 | Contributeurs à la décomposition et au
recyclage de la matière organique |
 | Certains sont des parasites responsables de
maladies humaines et animales (Plasmodium, Trypanosoma, Giardia, Toxoplasma) |
Principaux groupes de protozoaires
 | Rhizopodes : locomotion par pseudopodes (ex.
Amoeba proteus) |
 | Flagellés : locomotion par flagelles (ex.
Euglena, Giardia lamblia) |
 | Ciliés : locomotion par cils (ex. Paramecium
caudatum) |
 | Sporozoaires : organites locomoteurs modifiés
ou absents (ex. Plasmodium falciparum) |
Dangerosité des protozoaires
Protozoaires pathogènes majeurs
Les protozoaires regroupent à la fois des formes
libres non pathogènes et des espèces responsables de maladies potentiellement
graves chez l’homme et l’animal. Parmi les plus redoutées :
 | Entamoeba histolytica, cause de l’amibiase
invasive |
 | Giardia duodenalis, responsable de la
giardiase |
 | Cryptosporidium spp., agent de
cryptosporidiose |
 | Cyclospora cayetanensis et Cystoisospora
belli, à l’origine de diarrhées prolongées |
 | Microsporidies, aujourd’hui classées près des
champignons mais longtemps considérées comme protozoaires |
Modes de transmission
 | Voie oro-fécale via eau ou aliments
contaminés (principal vecteur pour les protozoaires intestinaux) |
 | Contact direct dans des milieux aux normes
sanitaires déficientes ou par pratiques sexuelles impliquant un contact oro-anal |
 | Vecteurs invertébrés (moustiques pour
Plasmodium, triatomes pour Trypanosoma cruzi, phlébotomes pour Leishmania) |
 | Transmission interhumaine rare hors contexte
hospitalier ou communautaire en cas d’épidémie (ex. Milwaukee, 1993 pour
Cryptosporidium) |
Gravité et manifestations cliniques
La gravité des infections protozoaires varie selon
l’espèce et l’état de l’hôte :
 | Infections intestinales aiguës : diarrhées
sévères, crampes, déshydratation (Giardia, Cryptosporidium, Cyclospora) |
 | Maladies systémiques et chroniques :
paludisme, leishmaniose, maladie de Chagas, toxoplasmose |
 | Infections opportunistes chez l’immunodéprimé
: cryptosporidiose chronique, microsporidiose digestive ou oculaire,
toxoplasmose cérébrale |
Populations à risque
 | Jeunes enfants dans les zones à
infrastructures sanitaires inadéquates : prévalence élevée de giardiase et
d’amibiase |
 | Personnes immunodéprimées (VIH/sida, greffés,
patients sous chimiothérapie) : formes graves et complications systémiques |
 | Voyageurs non immunisés vers des régions
tropicales : exposition accrue aux formes vectorielles ou à eau non potable |
 | Exploitants agricoles et personnel
vétérinaire : contact fréquent avec porteurs animaux ou eau contaminée |
Mesures préventives
 | Assurer le traitement et la potabilisation de
l’eau (filtration, chloration renforcée) |
 | Respect strict de l’hygiène mains et des
bonnes pratiques alimentaires |
 | Cuisson appropriée des aliments, surtout
légumes crus |
 | Protection contre les vecteurs
(moustiquaires, répulsifs) dans les zones endémiques |
 | Dépistage et traitement précoce chez les
immunodéprimés |
Distribution géographique des
protozoaires
Répartition globale
Les protozoaires sont ubiquitaires : on les
rencontre sur tous les continents, des zones polaires aux tropiques. Ils
prospèrent dans les milieux aquatiques (eaux douces, eaux marines), les sols
humides et les environnements interstitiels des organismes (mucus, tube
digestif, organes internes).
Milieux aquatiques et terrestres
 | Dans les eaux douces, on trouve abondamment
des amibes, des paramécies et des dinoflagellés. |
 | En milieu marin, les protozoaires jouent un
rôle clé dans le plancton, notamment les foraminifères et certaines
diatomées mixotrophes. |
 | Dans les sols humides, les amibes et
myxomycètes (moisissures visqueuses) colonisent la terre organique et
contribuent à la décomposition. |
Protozoaires parasitaires et zones endémiques
 | Les agents du paludisme (Plasmodium
falciparum, P. vivax) sont concentrés dans les zones
tropicales et subtropicales d’Afrique, d’Asie du Sud-Est et d’Amérique
latine. |
 | Les trypanosomes transmis par la mouche
tsé-tsé (maladie du sommeil) sont endémiques en Afrique subsaharienne. |
 | Les leishmanies (leishmaniose cutanée et
viscérale) se rencontrent autour du bassin méditerranéen, en Asie centrale
et en Amérique du Sud. |
 | Les protozoaires intestinaux (Giardia,
Cryptosporidium) ont une distribution mondiale mais sont plus fréquents dans
les régions à assainissement limité. |
Embranchements |
Espèces |
Espèces
representatives |
Description |
Actinopodes |
Env. 4.000 espèces |
Actinophrys sol — Actinophrys solaire
Actinosphaerium eichhornii — Actinosphère
d’Eichhorn
Acanthometra sp. — Acanthomètre marin
Collozoum inerme — Collozoaire inermé |
Description Les Actinopodes sont des organismes
unicellulaires eucaryotes appartenant à divers groupes de protistes,
notamment les radiolaires, les héliozoaires et les acanthaires. Leur
corps est généralement sphérique, avec une architecture interne
complexe. Leur taille varie de 50 à plus de 500 micromètres,
ce qui les rend visibles au microscope optique. Ils possèdent des
axopodes, fins prolongements cytoplasmiques rayonnants,
soutenus par des microtubules, utilisés pour la locomotion et la capture
des proies.
Distribution Les Actinopodes sont principalement marins,
bien que certaines espèces vivent en eaux douces. – Les
radiolaires et acanthaires sont présents dans les océans
tropicaux et tempérés, souvent en zone pélagique. – Les
héliozoaires sont plus fréquents en eaux douces stagnantes,
comme les étangs et les lacs. – Ils font partie du plancton
et jouent un rôle dans les réseaux trophiques aquatiques.
Particularités Ce sont des prédateurs unicellulaires
qui capturent leurs proies (bactéries, algues, petits protistes) grâce à
leurs axopodes collants. – Leur squelette peut être composé de
silice, célestite (sulfate de strontium) ou de matériaux
organiques. – Les radiolaires fossiles sont utilisés en
paléontologie pour dater les sédiments marins. – Certains sont
multinucléés, d’autres présentent un stade
flagellé au cours de leur cycle de vie. – Leur classification
est complexe et en révision, car plusieurs groupes sont
polyphylétiques.
Dangerosité Les Actinopodes sont totalement inoffensifs
pour l’humain. – Ils ne provoquent aucune maladie connue. – Ils
ne sont pas visibles à l’œil nu et n’interagissent pas avec les
activités humaines. – Leur rôle écologique est bénéfique : ils
participent à la régulation du microplancton et à la formation des
sédiments marins. |
Cnidosporidies |
Env. 3.900 espèces |
Myxobolus pfeifferi — Myxobole de Pfeiffer
Myxobolus cerebralis — Myxobole cérébral
Glugea hertwigi — Glugée de Hertwig
Pleistophora mulleri — Pléistophore de Müller.
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Description Les Cnidosporidies (ou Cnidospora)
désignent un ancien groupe de parasites microscopiques autrefois classés
parmi les protozoaires. Ce taxon est aujourd’hui considéré comme
obsolète et a été réparti entre plusieurs groupes distincts, notamment
les Myxozoaires (ex-Myxosporidies) et les
Microsporidies, certains étant désormais rattachés aux
Métazoaires ou aux Fungi. Leur taille varie de
5 à 30 micromètres, selon le stade et le type de spore.
Ils possèdent des spores complexes, souvent pluricellulaires, avec des
capsules polaires et des filaments enroulés utilisés pour infecter
l’hôte.
Distribution Les Cnidosporidies sont cosmopolites,
présentes dans les milieux aquatiques (eau douce et
marine), où elles parasitent une grande variété de vertébrés et
d’invertébrés, notamment les poissons, amphibiens,
reptiles et annélides. – Les Myxozoaires sont fréquents dans
les tissus musculaires ou conjonctifs des poissons. – Les Microsporidies
peuvent infecter des invertébrés comme les insectes, crustacés ou
nématodes, et parfois des vertébrés, y compris l’humain dans des cas
opportunistes.
Particularités Ce groupe se distingue par la structure
complexe de ses spores, souvent dotées de mécanismes
d’injection du contenu infectieux dans les cellules hôtes. – Les spores
peuvent être unicellulaires ou pluricellulaires, avec
des éléments différenciés. – Certaines espèces produisent des
kystes volumineux dans les tissus infectés, comme Myxobolus
pfeifferi chez les poissons. – Leur cycle de vie inclut des phases
syncytiales, des divisions nucléaires multiples, et parfois des stades
extracellulaires. – Les affinités morphologiques avec les cnidoblastes
des Cnidaires ont inspiré leur nom, bien qu’il ne s’agisse pas de
cellules urticantes.
Dangerosité Les Cnidosporidies sont pathogènes pour
leurs hôtes, mais non dangereuses pour l’humain dans la
majorité des cas. – Certaines Microsporidies peuvent provoquer
des infections opportunistes chez les personnes immunodéprimées. – Les
Myxozoaires sont responsables de maladies parasitaires chez les
poissons, affectant l’aquaculture (ex. maladie du tournis). – Aucun
membre du groupe n’est urticant ou toxique pour l’humain par contact
direct. |
Infusoires |
Env 8.000 espèces |
Paramecium caudatum — Paramécie caudée
Stentor coeruleus — Stentor bleu
Vorticella convallaria — Vorticelle commune
Didinium nasutum — Didinium à museau |
Description Les Infusoires sont des protozoaires ciliés
appartenant au phylum Ciliophora. Ce groupe englobe des
organismes unicellulaires complexes, visibles au microscope, dotés de
cils utilisés pour la locomotion et l’alimentation. Leur taille varie de
10 micromètres à plus de 2 millimètres, certains étant
parmi les plus grands protistes connus. Leur corps est souvent allongé,
ovale ou en forme de trompette, avec une organisation interne
sophistiquée : deux noyaux (macronoyau et micronoyau), vacuoles
contractiles, cytostome et structures ciliées spécialisées.
Distribution Les Infusoires sont cosmopolites,
présents dans tous les milieux aquatiques : – Eaux
douces (étangs, rivières, lacs) – Eaux marines (zones benthiques et
pélagiques) – Milieux humides terrestres (sols, mousses, litières) Ils
sont abondants dans les environnements riches en matière organique, où
ils jouent un rôle essentiel dans les chaînes trophiques microbiennes.
Particularités Ce sont des hétérotrophes qui
se nourrissent de bactéries, algues, petits protistes et débris
organiques. – Ils possèdent des cils organisés en rangées ou en
touffes, permettant des mouvements coordonnés. – Leur
reproduction est asexuée par fission binaire, mais ils
pratiquent aussi la conjugaison, un échange génétique
temporaire entre deux individus. – Certains comme Stentor
peuvent se contracter rapidement, tandis que Paramecium possède
des mécanismes d’évitement sophistiqués. – Leur capacité à réguler la
pression osmotique via des vacuoles contractiles est cruciale en eau
douce.
Dangerosité Les Infusoires sont totalement inoffensifs
pour l’humain. – Ils ne provoquent aucune maladie connue. – Ils
ne sont ni toxiques ni pathogènes. – Leur présence est bénéfique dans
les systèmes aquatiques, notamment en aquaculture et en épuration
biologique. |
Rhizoflagellés |
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Euglena gracilis — Euglène gracile
Naegleria fowleri — Amibe mangeuse de cerveau
Cercomonas longicauda — Cercomone à longue queue
Foraminifera globigerina — Globigérine |
Description Les Rhizoflagellés sont un groupe
anciennement utilisé pour désigner certains protozoaires unicellulaires
possédant à la fois des caractéristiques de flagellés
(mobilité par flagelle) et de rhizopodes (émission de
pseudopodes). Ce terme est aujourd’hui obsolète dans les classifications
modernes, mais il regroupait des organismes comme Giardia,
Trichomonas, Dientamoeba et Entamoeba. Leur
taille varie de 10 à 30 micromètres, avec une
morphologie souvent asymétrique, un ou plusieurs noyaux, et des
structures spécialisées comme les flagelles, les axostyles ou les
pseudopodes.
Distribution Les Rhizoflagellés sont cosmopolites,
présents dans les milieux aquatiques, les sols
humides et les organismes hôtes. – Certains
vivent librement dans l’eau douce ou les sédiments. – D’autres sont
parasites intestinaux ou urogénitaux chez l’humain et
les animaux (ex. Giardia duodenalis, Trichomonas vaginalis).
– Leur transmission se fait par voie féco-orale,
contact direct ou ingestion de kystes.
Particularités Ce groupe est marqué par une diversité
morphologique et fonctionnelle. – Giardia possède deux
noyaux et huit flagelles, avec une forme en cerf-volant. –
Trichomonas présente une membrane ondulante et un axostyle rigide.
– Dientamoeba combine des traits amiboïdes et flagellés, sans
kystes connus. – Leur cycle de vie inclut des formes végétatives
(trophozoïtes) et parfois kystiques,
résistantes dans l’environnement. – Ils se nourrissent par
phagocytose, absorbant bactéries, débris organiques ou cellules
hôtes.
Dangerosité Les Rhizoflagellés incluent plusieurs
agents pathogènes humains. – Giardia duodenalis
provoque la giardiose, une diarrhée chronique fréquente
chez l’enfant. – Trichomonas vaginalis est responsable de
trichomonose urogénitale, une IST fréquente. –
Dientamoeba fragilis peut causer des troubles digestifs, bien que
son pathogénicité soit débattue. – Entamoeba histolytica,
parfois inclus dans ce groupe, est l’agent de l’amibiase,
potentiellement grave. – Ces parasites sont non mortels
dans la majorité des cas, mais peuvent entraîner des complications si
non traités. |
Sporozoaires |
Env 6.000 espèces |
Plasmodium falciparum — Plasmodium malin
Toxoplasma gondii — Toxoplasme gondii
Eimeria tenella — Eimérie tenella
Cryptosporidium parvum — Cryptosporidium parvum |
Taille Les Sporozoaires mesurent généralement entre 1
et 50 micromètres selon le stade de développement (sporozoïte, mérozoïte,
gamétocyte). Leur forme est souvent ovoïde ou allongée, adaptée à la
pénétration cellulaire.
Distribution Ils sont cosmopolites et présents dans tous les
milieux où vivent leurs hôtes : intestins, sang, tissus de vertébrés et
d’invertébrés, ainsi que dans les eaux douces ou souillées, les sols
humides et les aliments contaminés.
Description Ce sont des protozoaires unicellulaires parasites
appartenant au phylum Apicomplexa. Ils sont dépourvus de cils ou
flagelles à l’état adulte et possèdent un complexe apical spécialisé
pour pénétrer les cellules hôtes. Leur cycle de vie est complexe,
alternant reproduction asexuée (schizogonie), sexuée (gamogonie) et
sporogonie. Le sporozoïte est le stade infectieux, les mérozoïtes se
multiplient dans les cellules, et les gamétocytes fusionnent pour
produire des oocystes.
Particularités Ils sont exclusivement intracellulaires et
utilisent des organites spécialisés (micronèmes, rhoptries, conoïde)
pour envahir les cellules. Certains genres comme Plasmodium, Toxoplasma,
Cryptosporidium ou Eimeria ont des cycles impliquant plusieurs hôtes ou
vecteurs. Leur reproduction inclut des stades résistants comme les
kystes ou les oocystes, capables de survivre dans l’environnement.
Dangerosité Les Sporozoaires comptent parmi les parasites les
plus dangereux pour l’humain et les animaux. Plasmodium provoque le
paludisme, responsable de centaines de milliers de décès annuels.
Toxoplasma gondii peut entraîner des complications graves chez les fœtus
et les immunodéprimés. Cryptosporidium cause des diarrhées sévères,
surtout chez les enfants et les personnes vulnérables. Eimeria affecte
gravement les animaux d’élevage. La transmission se fait par vecteurs
(moustiques), ingestion d’oocystes, contact avec des hôtes infectés ou
exposition à de l’eau contaminée |

Les fiches
Nom
usuel |
Genre |
espèce |
Photos |
Environnement principal |
Description |
Distribution |
Coccidie du lapin |
Eimeria |
stiedae |
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Parasite |
Protozoaire parasite
appartenant au phylum des Apicomplexa, responsable de
la coccidiose hépatique chez le lapin. C’est l’une des
espèces les plus étudiées du genre Eimeria, notamment en
médecine vétérinaire. |
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Trypanosome de Gambie |
Trypanosoma |
gambiense |
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Parasite |
Protozoaire parasite
flagellé responsable de la trypanosomiase humaine africaine,
plus connue sous le nom de maladie du sommeil. Il est
transmis à l’humain par la piqûre d’une mouche tsé-tsé
infectée (Glossina), et sévit principalement en Afrique
de l’Ouest et centrale, où il représente environ 92 %
des cas signalés. |
Afrique |
Amibe |
Amoeba |
sp. |
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Eaux dormantes |
Le genre Amoeba regroupe des
protozoaires unicellulaires appartenant aux
Amoebozoa, célèbres pour leur capacité à changer de
forme grâce à des extensions cytoplasmiques appelées
pseudopodes. Ces organismes vivent principalement dans les
eaux douces, les sols humides ou les
milieux riches en matière organique. |
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Stylonichie |
Stylonichia |
sp. |
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Eaux stagnantes |
Stylonychia est un genre de ciliés
hypotriches, des protozoaires unicellulaires fascinants que l’on trouve
fréquemment dans les eaux douces, les sols humides et même sur les
algues filamenteuses ou les débris végétaux en décomposition |
Cosmopolites sauf l'hémisphère Nord (Micr.) |
Loxode |
Loxoda |
sp. |
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Eaux stagnantes |
Le genre Loxodes (et non "Loxoda",
qui semble être une confusion ou une référence à un univers de jeu de
rôle) désigne un groupe de ciliés hypotriches d’eau douce, souvent
rencontrés dans les milieux riches en matière organique, comme les
étangs, mares ou sédiments vaseux. |
Cosmopolites sauf l'hémisphère Nord (Micr.) |
Vorticelle |
Vorticella |
sp. |
 |
Eaux stagnantes |
Vorticella est un genre de ciliés
péritriches d’eau douce, reconnaissables à leur forme en clochette fixée
à un pédoncule contractile. Ces micro-organismes vivent souvent attachés
à des substrats comme les plantes aquatiques, les pierres ou même la
carapace de petits crustacés. |
 |
Arcela sp. |
Arcela |
sp |
 |
Eaux
douces |
Genre d’amibes testacées (amibes à
coquille) que l’on trouve fréquemment dans les milieux d’eau douce,
comme les mares, étangs ou tourbières. |
- |
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