Grands Peintres - De Giotto à Veermer

Grands Peintres - De Giotto à Veermer

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Description des illustrations

Illustration  
Scène d’atelier artistique de la Renaissance avec figures humaines en pleine création. Au centre un peintre en robe rouge réalise le portrait d’une femme vêtue de bleu assise devant lui. À gauche un dessinateur esquisse sur un carnet. À droite un sculpteur façonne une statue masculine nue. D’autres personnages observent ou discutent. L’arrière-plan montre une architecture classique avec colonnes arches et vue sur un édifice à coupole rappelant le Duomo de Florence. L’ensemble illustre l’effervescence artistique et intellectuelle de la Renaissance avec mise en valeur de l’humanisme et de la collaboration entre disciplines.

 


La Renaissance
La Renaissance est une période de renouveau artistique et intellectuel qui s’étend du XIVe au XVIe siècle. Elle naît en Italie dans des cités comme Florence, Rome et Venise, où le mécénat des Médicis et des papes favorise l’émergence d’artistes majeurs. Ce mouvement s’appuie sur la redécouverte des textes antiques, le développement de l’humanisme et les progrès techniques. L’art de la Renaissance se distingue par la perspective linéaire, le réalisme anatomique, la lumière naturelle, la monumentalité des compositions et la valorisation de l’individu. Le peintre devient intellectuel et théoricien. Les sujets religieux restent dominants mais s’enrichissent de mythologie gréco-romaine, de scènes profanes, de portraits et de paysages. Les œuvres ne sont plus réservées aux églises mais décorent aussi les palais et les maisons bourgeoises. Giotto initie le réalisme et la profondeur. Masaccio introduit la perspective. Léonard de Vinci incarne l’artiste-scientifique. Michel-Ange sublime le corps humain dans la Chapelle Sixtine. Raphaël incarne l’harmonie et la grâce. Titien, Véronèse et Le Tintoret développent la couleur et le mouvement à Venise. Dürer et Holbein diffusent l’art renaissant en Europe du Nord. La peinture à l’huile remplace la tempera. La gravure se développe. L’architecture s’inspire des ordres antiques. La sculpture retrouve les proportions classiques. L’imprimerie favorise la diffusion des idées. La Renaissance marque la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes. Elle prépare les révolutions scientifiques, philosophiques et politiques à venir. L’artiste devient créateur autonome, porteur de sens et de beauté.
Scène intérieure à forte charge historique et allégorique avec architecture en arc et statues classiques. Au premier plan un artiste assis peint sur une toile tenant palette et pinceau. Autour de lui plusieurs figures emblématiques dont un homme en armure avec cape rouge une femme assise devant un livre et un personnage en tenue religieuse probablement un évêque. À l’arrière-plan d’autres observateurs et une statue de soldat romain dans une niche. L’ensemble évoque une commande artistique ou un moment de convergence entre art religion et pouvoir dans un cadre solennel et intellectuel.
Le XVIIème Siècle :
Le XVIIe siècle est marqué par l’affirmation du baroque et du classicisme dans un contexte de conflits religieux, de centralisation monarchique et d’essor des académies. L’art devient un instrument de pouvoir, de foi et de prestige. En Italie, le baroque triomphe avec Caravage, maître du clair-obscur, qui impose un réalisme dramatique et une tension spirituelle. Bernin et Borromini transposent cette dynamique dans l’architecture et la sculpture. En Espagne, Velázquez peint la cour avec une subtilité psychologique inédite, tandis que Zurbarán et Murillo illustrent la ferveur catholique. Aux Pays-Bas, le protestantisme favorise une peinture profane et intimiste. Rembrandt explore la lumière intérieure, Vermeer sublime les scènes domestiques, Frans Hals capte l’instant. En France, le classicisme s’impose avec Poussin, Le Brun et Le Lorrain. L’art devient rationnel, structuré, porteur de valeurs morales. L’Académie royale de peinture et de sculpture, fondée en 1648, codifie les règles et hiérarchise les genres. Le roi Louis XIV utilise l’art pour glorifier son règne. Versailles devient le symbole du pouvoir absolu. La peinture religieuse reste dominante mais s’ouvre à l’histoire, au paysage, au portrait et à la nature morte. Le marché de l’art se développe, les collectionneurs se multiplient. Le XVIIe siècle est aussi celui des grandes commandes publiques, des décors monumentaux, des retables et des plafonds peints. L’artiste est à la fois serviteur du pouvoir et créateur autonome. L’art devient un langage universel, capable d’émouvoir, d’instruire et de convaincre.
L’Ascension du Christ Cette fresque représente le moment où Jésus ressuscité monte au ciel sous les yeux de ses disciples. Giotto place le Christ au sommet de la composition, entouré d’une mandorle dorée et de nuées célestes, soulignant sa divinité. En bas, les apôtres et deux anges en blanc regardent vers le ciel, les bras levés ou tendus, traduisant la stupeur et la ferveur. Le ciel bleu intense sert de fond unifié, tandis que les groupes d’anges dans les coins supérieurs renforcent la verticalité du mouvement. Giotto innove par la disposition spatiale, la cohérence des gestes et l’expression des visages. Il abandonne les conventions byzantines pour une narration incarnée, où chaque figure participe à l’événement avec émotion et naturel.
La Présentation de Jésus au Temple
Cette scène illustre le moment où Marie et Joseph présentent l’enfant Jésus au vieillard Siméon, selon la tradition juive. Giotto construit l’espace autour d’un édifice à colonnes et coupole, créant une architecture crédible et tridimensionnelle. Au centre, Siméon tend les bras vers l’enfant, que Marie lui remet avec douceur. Les personnages sont disposés en demi-cercle, chacun avec une attitude distincte : Joseph en retrait, Anne la prophétesse attentive, les assistants concentrés. Un ange au-dessus de la scène ajoute une touche divine. Giotto utilise des couleurs sobres, des drapés réalistes et une lumière cohérente pour ancrer la scène dans une réalité tangible. Il introduit la profondeur, la psychologie et la narration dans l’image sacrée.
Ces deux fresques témoignent de la révolution opérée par Giotto : abandon du hiératisme, émergence de l’espace pictural, incarnation des figures religieuses, et construction d’un récit visuel accessible et émouvant.


 

Giotto Di Bondone (1266-1337)
Giotto di Bondone est considéré comme le père de la peinture occidentale moderne. Né en 1266 près de Florence, il rompt avec l’art byzantin en introduisant le réalisme, la profondeur et l’émotion dans la représentation picturale. Il est formé par Cimabue mais dépasse son maître en humanisant les figures religieuses. Ses fresques de la chapelle Scrovegni à Padoue marquent une révolution visuelle. Il y développe la narration, la perspective intuitive et l’expression des sentiments. Giotto peint des corps volumétriques, des visages individualisés, des gestes crédibles. Il donne à la peinture une dimension dramatique et incarnée. Il travaille aussi à Assise, Florence, Naples et Rome. Ses œuvres influencent toute la Renaissance. Dante le cite dans la Divine Comédie. Giotto est aussi architecte : il conçoit le campanile du Duomo de Florence. À sa mort en 1337, il laisse une œuvre fondatrice. Il transforme l’image religieuse en scène humaine, accessible et émotive. Il ouvre la voie à Masaccio, Fra Angelico, Piero della Francesca et Léonard de Vinci. Giotto incarne le passage du Moyen Âge à l’art moderne. Son génie réside dans la capacité à unir foi, narration et observation du réel

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Le Retable de l’Agneau mystique (1432) Œuvre monumentale réalisée avec son frère Hubert, ce polyptyque est installé dans la cathédrale Saint-Bavon de Gand. Il se compose de volets supérieurs représentant Dieu le Père, la Vierge Marie, Jean-Baptiste, des anges musiciens, Adam et Ève, et de volets inférieurs centrés sur l’adoration de l’Agneau, symbole du Christ rédempteur. La scène regroupe prophètes, apôtres, martyrs, vierges et pèlerins dans un paysage luxuriant. L’ensemble manifeste une maîtrise exceptionnelle de la lumière, des textures et de la symbolique chrétienne, avec une précision anatomique et botanique remarquable.
Le Portrait des époux Arnolfini (1434)
Peinture à l’huile sur bois conservée à la National Gallery de Londres. Elle représente un couple bourgeois dans une chambre flamande, entouré d’objets porteurs de significations religieuses et sociales. Le miroir convexe au fond reflète deux témoins, suggérant un acte solennel. Le chandelier, le chien, les fruits et les chaussures retirées renforcent la lecture symbolique du mariage ou d’un pacte sacré. La lumière latérale, le rendu des tissus et la signature « Johannes de Eyck fuit hic » témoignent de l’innovation technique et de la volonté de l’artiste d’affirmer sa présence.

 

Jan Van Eyck (v 1390-1441)
Peintre flamand né vers 1390 à Maaseik et mort à Bruges en 1441, Jan van Eyck est une figure majeure de la peinture primitive flamande et du gothique tardif.
Actif à la cour de Jean de Bavière puis au service de Philippe le Bon, il est reconnu pour avoir perfectionné la technique de la peinture à l’huile, atteignant un degré de naturalisme et de précision inégalé. Il est l’un des premiers artistes à signer ses œuvres. Son style se caractérise par une minutie extrême dans le rendu des textures, des visages et des objets, souvent porteurs de symboles religieux dissimulés. Il est l’auteur de portraits célèbres comme L’Homme au turban rouge (1433) et de scènes religieuses telles que La Vierge du chancelier Rolin et La Vierge au chanoine Van der Paele. Il achève en 1432 le retable de L’Agneau mystique à Gand, commencé par son frère Hubert. Il participe à des missions diplomatiques pour le duc de Bourgogne, notamment en Espagne et au Portugal. Son œuvre marque une rupture avec l’art médiéval par son réalisme et son usage innovant de la lumière, influençant durablement la peinture européenne

Le Chariot de foin montre une humanité entière attirée par un immense tas de foin symbole des biens matériels et de la vanité terrestre tous les groupes sociaux y compris les religieux et les puissants s’y précipitent dans une frénésie grotesque ignorant le Christ qui les observe depuis les cieux la scène centrale est encadrée par la création d’Adam et Ève à gauche et l’Enfer à droite formant un triptyque moral sur la chute de l’humanité Bosch critique ici la cupidité universelle et l’aveuglement spirituel dans une composition foisonnante et chaotique
La Nef des fous de Jérôme Bosch est une allégorie satirique de la gourmandise et de la déraison humaine, peinte vers 1500 et conservée au musée du Louvre.
Ce panneau montre une embarcation instable peuplée de personnages grotesques et hétéroclites parmi lesquels un moine franciscain une nonne un fou et plusieurs convives en pleine beuverie tous s’agitent autour d’un gâteau suspendu à une ficelle et de cerises convoitées symboles de luxure et d’impudicité un luth posé au centre renforce cette lecture morale tandis qu’un homme vomit à la proue et qu’un autre rame avec une cuillère démesurée l’arbre planté au centre du bateau remplace le mât et sert de perchoir à des figures absurdes la scène est dépourvue de gouvernail et de voile suggérant une dérive morale et spirituelle

Jérôme Bosch (v.1450-1516)
Peintre né vers 1450 à Bois-le-Duc et mort dans la même ville en 1516, Jérôme Bosch est une figure singulière de la peinture flamande, célèbre pour son univers fantastique et moralement chargé.
Issu d’une famille de peintres, il adopte le nom abrégé de sa ville natale comme pseudonyme. Membre de la Confrérie de Notre-Dame, il bénéficie de commandes prestigieuses et d’une reconnaissance rapide auprès des élites européennes. Son œuvre se distingue par une iconographie hallucinée mêlant visions religieuses, satire sociale, folklore, alchimie et astrologie. Il peint des mondes peuplés de créatures hybrides, de monstres grotesques et de symboles ambigus, souvent organisés en triptyques. Sa technique alla prima et son usage de fonds sombres renforcent l’intensité dramatique de ses compositions. Parmi ses œuvres majeures figurent Le Jardin des délices, La Nef des fous, Le Chariot de foin, Le Jugement dernier et La Tentation de saint Antoine. Son art, à la croisée du gothique tardif et de la Renaissance, exprime une critique acerbe des passions humaines et de la corruption morale, tout en ouvrant un espace pictural libre et énigmatique. Il influence durablement les surréalistes du XXe siècle et reste une énigme interprétative majeure de l’histoire de l’art.

Les Mains en prière dessin à la plume et au lavis bleu réalisé vers 1508 représente deux mains jointes dans un geste de prière les doigts fins et les plis du vêtement sont rendus avec une précision anatomique remarquable ce dessin est à la fois une étude technique et une image de dévotion il incarne l’humilité la foi et la concentration spirituelle il est devenu une icône de la piété chrétienne et témoigne du sens du détail de Dürer
Saint Jérôme dans son étude
gravure réalisée en 1514 montre le savant chrétien assis dans une pièce austère entouré de symboles de méditation et de savoir un crâne posé sur la table rappelle la vanité terrestre tandis que les livres la plume et la lumière évoquent la quête de vérité et la traduction des textes sacrés le lion traditionnel compagnon de Jérôme est souvent présent dans d’autres versions cette œuvre illustre la solitude studieuse et la contemplation religieuse dans un style rigoureux et expressif

 

Albrecht Dürer (1471-1528)
Albrecht Dürer est un artiste allemand né à Nuremberg en 1471 et mort dans la même ville en 1528 il est considéré comme l’un des plus grands peintres et graveurs de la Renaissance nordique fils d’un orfèvre originaire de Hongrie il apprend très tôt le dessin et la gravure dans l’atelier paternel puis chez le peintre Michael Wolgemut à Nuremberg il voyage en Europe notamment à Bâle Strasbourg Venise et les Pays-Bas où il découvre l’art italien et les principes de la perspective et des proportions idéales influencé par Mantegna Bellini et Léonard de Vinci il intègre les motifs classiques dans l’art germanique et développe une œuvre mêlant rigueur mathématique et sens du détail il excelle dans la gravure sur bois et sur cuivre avec des œuvres majeures comme Le Chevalier la Mort et le Diable Saint Jérôme dans sa cellule et Melencolia I ses aquarelles font de lui l’un des premiers paysagistes européens il rédige aussi des traités sur la géométrie la perspective et les proportions du corps humain il est soutenu par l’empereur Maximilien Ier et signe ses œuvres d’un monogramme célèbre A surmontant un D son œuvre allie science et spiritualité et marque profondément l’histoire de l’art occidental

   
   
   

 

 


 

 

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Piero Della Francesca (v 1416-92). : Son œuvre est un des sommets de la peinture du XVème Siècle.

 

Image dans Infobox. Image dans Infobox.
1. Statue de Piero Della Francesca. 2. Triomphe de la chasteté. 3. La flagellation du Christ.

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Fra Angelico (V. 1400-55) : Peintre italien religieux dominicain. Il est notamment l'auteur des fresques du couvent San Marco de Florence, dans
lequel il peint toutes les cellules des moines.
 

  Cellule 2 Lamentation du ChristImage dans Infobox.
1. Autoportrait du peintre (non officiel). 2. Madone des Ombres. 3. Le Christ en croix (1437) 4. Lamentation du Christ (Cellule 2). 5. Descente de croix (1432-34).

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Le Tintoret (1518-94) : Peintre italien de la Renaissance italienne, forcené au travail, il réalise des centaine d'œuvres.
On retiendra la puissance et la théâtralité de ses compositions. Il est également le précurseur du baroque.

 

Image dans Infobox. Image dans Infobox.
1. Jacopo Tintoretto (1547) - Autoportrait - dit le Tintoret. 2. Le lavement des pieds (1548). 3. La cène du Tintoret (1593). 4. Apollon et Marsyas (1545).
5. Miracle de l'esclave (1548). 6. Le corps de Saint Marc (1564). 7. San Rocco guérit les pestiférés (1549).

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Pieter Bruegel l'Ancien (V. 1525-69) : Il est l'un des 4 grands peintres flamands. Proche des thèmes de J. Bosch, il peint des univers
fantastiques mais aussi des scènes villageoises.
 Pieter Le Jeune le fils sera également peintre ainsi que le petit-fils Pieter Bruegel III !

 

Le Combat de Carnaval et Carême, 1559. La Tour de Babel, c. 1563. Image dans Infobox. Le Paysan et le voleur de nid, 1568.
1. Le combat de Carnaval et Carême (1559). 2. La Grande tour de Babel (1563). 3. La Petite tour de Babel (1568).
4. La Prédication de Saint Jean Baptiste (1566) 5. Le Paysan et le voleur de nid (1568).

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Titien (1488-1576) : Peintre italien reconnu pour être un des plus grand portraitistes (figures) de tous les temps !

 

Image dans Infobox. Image dans Infobox. Mater Dolorosa 1554, Madrid Sisyphe 1548-1549, Prado
1. Autoportrait (1555-62). 2. Charles Quint à cheval à Mühlberg (1547). 3. Portrait du pape Paul III (V. 1543) 4. Vierge et l'Enfant dans un paysage du soir (1560-65).
5. Caïn et Abel (1542-44). 6. La Vénus d'Urbin (1538). 7. Mater Dorosa (1554). 8. Sisyphe (1548-49). 9. L'homme au gant (1520)

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Raphaël Sanzio (1483-1520) : Jeune prodige de la peinture, il décore les appartements du pape Jules II. Il sera formé par Leonard de Vinci et Michel-Ange !

 

La Velata 1512-1516, Palais Pitti. Portrait d'Agnolo Doni, 1506, Galerie Palatine (palais Pitti), Florence.
1. Autoportrait (1506).  2. Portrait de Jules II (1511). 3. Saint Paul prêchant à Athènes. 4. La Velata (1512-16)
5. La transfiguration (1518-20) 6. Portrait d'Agnolo Doni (1506) 7. Prophète Isaïe.

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Michel-Ange Buonarroti (1475-1564) : Solitaire et tourmenté, peintre, sculpteur et architecte italien dont l'influence fut considérable dans l'art occidental.

Image dans Infobox. Le plafond de la chapelle Sixtine au Vatican entièrement réalisé par Michel-Ange. Image dans Infobox.
1. Portrait de Michel-Ange, toile de Danièle de Voltera. 2. Statue de Moïse (1513). 3. Plafond de la chapelle Sixtine au Vatican (1508-12), un véritable chef-d'œuvre.
4. Statue de la Madone de Bruges (1501-04). 5. Maison natale de Michel-Ange à Caprèse en Toscane.

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Caravage (v.1571-1610) : Michelangelo Merisi de Caravaggio, de son vrai nom, peintre italien, connu pour son art du clair-obscur. Des personnages violemment
éclairés sur des fonds sombres exprimant une conception tragique de la foi.

 

Image dans Infobox. Tableau représentant un jeune garçon portant un panier de fruits. Image dans Infobox. Tableau montrant trois joueurs de cartes, tous trois en train de tricher. Image dans Infobox.
1. Portrait de Caravage peint par Ottavio Leoni en 1621). 2. Garçon avec un panier de fruits (1593). 3. Garçon mordu par un lézard (1593) 4. Le petit Bacchus malade (v. 1593)
5. Les tricheurs (1594).  6. David avec la tête  Goliath (1606-1610)

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Johannes Vermeer (1632, 75) : Peintre hollandais de la vie quotidienne joue sur les formes géométriques, les espaces, les ouvertures et la lumière,
 laissant une atmosphère mystérieuse. il  est un des plus grand peintres du monde, laissant derrière lui des toiles connus et reconnus mondialment.

 

Image dans Infobox. Johannes Vermeer (1632-1675) - The Girl With The Pearl Earring (1665).jpg Une jeune fille assoupie, vers 1656-1657, 87,6 × 76,5 cm, Metropolitan Museum of Art, New York Image dans Infobox.
1. L'entremetteuse (1656) ; on suppose que J. Vermeer est lui-même sur la toile à gauche. 2. La Liseuse à la fenêtre (1657). 3. La laitière (1658).
 4 La jeune fille à la perle (1632). 5 Une jeune fille assoupie (1656) 6. Vue de Delft (1659)

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Nicolas Poussin (1594-1665) :