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Carnivores préhistoriques
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Genres |
Classification |
Trace et période
& Description |
Smilodon
(Moins de 230 cm, moins de 500 kg)
L’illustration montre un Smilodon marchant dans une
savane préhistorique avec un ciel orangé et des acacias en arrière-plan.
L’animal possède un corps musclé, une queue courte et un pelage fauve
tacheté rappelant celui d’un léopard, tandis que ses longues canines
supérieures sont bien visibles dans une posture de grognement. La scène
met en valeur sa puissance et son rôle de prédateur dans un
environnement chaud et ouvert. |
Félidés
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Période et répartition Smilodon a vécu durant le
Pléistocène, entre environ 2,5 millions d’années et 10 000 ans avant
notre ère. Il était présent sur l’ensemble du continent américain, du
Canada à l’Argentine. Les fossiles les plus nombreux ont été retrouvés
en Amérique du Nord, notamment dans les puits de goudron de La Brea à
Los Angeles. L’espèce Smilodon populator occupait les grandes plaines
d’Amérique du Sud.
Description morphologique Smilodon est un genre de félins
préhistoriques appartenant à la sous-famille éteinte des
Machairodontinae. Il se distingue par ses canines supérieures très
longues et fines pouvant atteindre jusqu’à 28 centimètres. Son corps est
massif avec des membres antérieurs puissants et une mâchoire capable
d’une ouverture très large. Il possédait une queue courte et une
fourrure probablement tachetée ou unie. Trois espèces sont reconnues :
S. gracilis le plus petit S. fatalis de taille intermédiaire et S.
populator le plus grand pouvant atteindre 1,2 mètre au garrot pour un
poids de 360 à 436 kg.
Mode de vie et alimentation Smilodon était un carnivore
spécialisé dans la chasse aux grands herbivores comme les bisons les
chevaux sauvages ou Macrauchenia. Il utilisait probablement ses canines
pour infliger des blessures précises et mortelles. Certaines hypothèses
suggèrent qu’il pouvait vivre en groupes ce qui serait exceptionnel chez
les félins en dehors du lion.
Extinction Smilodon a disparu il y a environ 10 000 ans à la
fin de la dernière période glaciaire. Les causes probables incluent le
changement climatique la raréfaction des proies et l’arrivée des
premiers humains sur le continent américain. |
Ursus spéléos
(Moins de 350 cm,
moins de 1 t)
L’illustration montre un Ursus spelaeus, ou ours des
cavernes, marchant dans une forêt dense avec un pelage brun épais, des
membres puissants et la gueule légèrement ouverte laissant apparaître
ses dents. L’environnement est composé de grands arbres, de rochers
couverts de mousse et d’un sol forestier jonché de feuilles et de
branches, dans une lumière douce évoquant l’aube ou le crépuscule. La
scène met en valeur la présence imposante de cet animal préhistorique
dans un cadre naturel réaliste, soulignant son adaptation aux milieux
boisés du Pléistocène. |
Ursidés
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Ursus spelaeus a vécu durant le Pléistocène supérieur,
principalement entre 300 000 et 28 000 ans avant notre ère. Il était
largement réparti dans les grottes d’Europe, depuis le sud de
l’Angleterre jusqu’au Caucase, avec une forte concentration dans les
Alpes, les Carpates et les Pyrénées.
Description Ursus spelaeus, ou ours des cavernes, était un
ursidé de grande taille. Les mâles pouvaient atteindre 1,30 mètre au
garrot et plus de 3,50 mètres en position dressée, avec un poids moyen
de 450 kg, certains spécimens dépassant la tonne. Il se distinguait de
l’ours brun par un museau plus court, un front fuyant, des pattes
antérieures plus longues et un crâne en dôme. Ses molaires puissantes et
ses canines peu développées indiquent une adaptation à un régime
végétarien.
Mode de vie L’ours des cavernes vivait principalement dans les
grottes, où l’on retrouve des milliers de squelettes, souvent morts
durant l’hibernation. Comme les ours bruns actuels, il hibernait
plusieurs mois, période durant laquelle les femelles mettaient bas et
allaitaient leurs petits. Il était probablement solitaire ou vivait en
petits groupes familiaux. Sa croissance corporelle variait selon les
cycles glaciaires, augmentant pendant les périodes froides pour mieux
conserver la chaleur.
Alimentation Longtemps considéré comme strictement végétarien,
Ursus spelaeus avait en réalité un régime mixte. Des analyses de
micro-usures dentaires révèlent une consommation saisonnière de végétaux
et de protéines animales, notamment avant l’hibernation. Ce régime
variait selon les conditions environnementales et les ressources
disponibles, ce qui nuance les hypothèses sur son écologie et ses
interactions avec les autres espèces, y compris les humains.
Extinction L’espèce s’est éteinte il y a environ 28 000 ans,
principalement en Europe centrale et occidentale. Les causes de son
extinction restent débattues. Les hypothèses incluent le changement
climatique, la réduction des ressources végétales, la compétition avec
l’ours brun, et une possible pression anthropique indirecte. Sa
disparition coïncide avec celle de nombreuses espèces du Pléistocène,
dans un contexte de bouleversements écologiques majeurs. |
Panthera spelaea
(Moins de 250 cm,
moins de 350 kg)L’illustration montre un Panthera spelaea,
ou lion des cavernes eurasiatique, marchant dans un paysage enneigé avec
des conifères et des montagnes recouvertes de neige en arrière-plan.
L’animal est représenté avec une musculature puissante, un pelage fauve
et une expression féroce, la gueule ouverte laissant apparaître ses
crocs. La scène met en valeur son adaptation aux climats froids et sa
posture de prédateur dominant dans un environnement préhistorique
montagnard. |
Félidés
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Panthera spelaea a vécu durant le Pléistocène moyen et
supérieur, entre environ 370 000 et 10 000 ans avant notre ère.
Il était largement réparti dans les steppes froides et les régions
montagneuses d’Eurasie, depuis l’ouest de l’Europe jusqu’à la Sibérie et
l’Altaï, avec des fossiles retrouvés dans les grottes, les dépôts
glaciaires et les sols gelés
Description Panthera spelaea, ou lion des cavernes, était un
grand félin proche du lion moderne mais distinct par sa morphologie. Il
possédait un corps massif, des membres puissants, une tête large et un
crâne allongé. Il mesurait jusqu’à 2,5 mètres de long et pesait entre
200 et 350 kg. Il ne portait pas de crinière, comme le suggèrent les
représentations pariétales et les analyses génétiques. Sa fourrure
épaisse et pâle était adaptée aux climats froids
Mode de vie Ce lion était probablement solitaire ou vivait en
petits groupes familiaux. Il occupait des territoires ouverts, des
steppes et des vallées glaciaires, utilisant parfois les grottes comme
abris temporaires. Il chassait principalement à l’affût ou en embuscade,
exploitant le relief et la végétation basse. Des indices paléogénétiques
et isotopiques suggèrent une territorialité marquée et une organisation
sociale proche de celle du lion moderne
Alimentation Panthera spelaea était un prédateur carnivore
spécialisé. Il se nourrissait de grands herbivores du Pléistocène comme
le renne, le cheval, le bison et parfois le jeune mammouth. Des marques
de morsures sur des os fossiles et des analyses isotopiques confirment
son rôle de superprédateur. Il pouvait aussi consommer des charognes en
période de pénurie, mais restait principalement actif dans la chasse
Extinction L’espèce s’est éteinte il y a environ 10 000 ans, à
la fin de la dernière glaciation. Les causes incluent le réchauffement
climatique, la disparition de ses proies principales, la fragmentation
de son habitat et une possible concurrence avec l’homme moderne. Sa
disparition s’inscrit dans le cadre plus large de l’extinction de la
mégafaune du Pléistocène, marquant la fin d’un écosystème glaciaire
unique |
Andrewsarchus
(Moins de 400 cm,
moins de 1 t)
L’illustration montre un Andrewsarchus en pleine course
dans une forêt de conifères, gueule ouverte et crocs apparents,
exprimant une posture agressive et dynamique. L’animal possède un corps
massif recouvert de fourrure brune, des membres robustes et une tête
évoquant celle d’un loup, soulignant son rôle de prédateur du Paléocène.
Le décor forestier avec un chemin de terre et une lumière tamisée
renforce l’impression d’un environnement naturel ancien, mettant en
valeur la puissance et la rareté de ce mammifère préhistorique. |
Ongulés
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Andrewsarchus
a vécu durant l’Éocène moyen, il y a environ 45 à 36 millions d’années.
Ses fossiles ont été découverts en Mongolie intérieure, dans les
formations de Irdin Manha, ce qui suggère une répartition limitée à
l’Asie centrale dans des environnements côtiers ou deltaïques
Description Andrewsarchus mongoliensis est connu par un unique
crâne fossile mesurant plus de 80 cm de long, avec une mâchoire
puissante et des dents robustes. Il appartenait au clade des
artiodactyles, plus précisément aux mesonychidés ou proches des ancêtres
des cétacés. Sa taille corporelle est estimée à plus de 3,5 mètres de
long avec une hauteur au garrot d’environ 1,5 mètre, ce qui en ferait
l’un des plus grands mammifères carnivores terrestres connus. Son crâne
allongé et ses dents broyeuses indiquent une adaptation à un régime
mixte
Mode de vie Peu d’éléments fossiles permettent de reconstituer
précisément son comportement, mais sa morphologie suggère un mode de vie
terrestre, probablement solitaire. Il évoluait dans des milieux ouverts
ou semi-côtiers, avec une locomotion adaptée à la course ou à la marche
soutenue. Son crâne massif indique une musculature développée pour la
prédation ou le charognage. Il aurait pu occuper une niche écologique de
superprédateur ou de charognard opportuniste
Alimentation Andrewsarchus possédait des dents postérieures
larges et usées, adaptées au broyage d’os, ce qui suggère une
alimentation omnivore avec une forte composante carnivore. Il se
nourrissait probablement de carcasses, de petits vertébrés, voire de
proies plus grandes, et pouvait consommer des mollusques ou des végétaux
coriaces. Son régime alimentaire reste hypothétique en l’absence de
fossiles post-crâniens ou de contenu stomacal
Extinction L’espèce a disparu à la fin de l’Éocène, dans un
contexte de bouleversements climatiques et écologiques majeurs. Le
refroidissement global, la régression des mers et la restructuration des
écosystèmes ont entraîné le déclin des grands prédateurs spécialisés.
Andrewsarchus n’a pas laissé de descendants directs connus, mais son
groupe taxonomique a influencé l’évolution des cétacés et des ongulés
modernes par des lignées divergentes |
Barbourofelis
(Moins de 200 cm,
moins de 160 kg)
L’illustration montre un Barbourofelis, prédateur
préhistorique du Miocène, marchant dans un paysage herbeux avec des
arbres et des collines en arrière-plan. L’animal possède une silhouette
musclée, un pelage fauve marqué de taches ou de rayures sombres, et des
canines supérieures allongées bien visibles dans une posture de marche
avec la gueule entrouverte. La scène met en valeur son apparence féline
et sa puissance, soulignant son rôle de chasseur dans un environnement
terrestre ancien. |
Félidés
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Barbourofelis
a vécu durant le Miocène supérieur, entre environ 13 et 7 millions
d’années avant notre ère.
Ses fossiles ont été retrouvés principalement en Amérique du Nord,
notamment dans les formations du Nebraska, du Texas et de la Floride, ce
qui indique une répartition limitée aux milieux ouverts et boisés de
cette région
Description Barbourofelis était un grand carnivore appartenant
à la famille éteinte des Barbourofelidae, proche des Nimravidae et
distinct des félidés modernes. Il mesurait jusqu’à 2 mètres de long avec
une hauteur au garrot d’environ 90 cm et un poids estimé entre 100 et
150 kg. Il possédait un crâne robuste, des canines supérieures allongées
en forme de sabre, et une musculature puissante adaptée à la prédation.
Ses membres antérieurs étaient particulièrement développés, suggérant
une capacité à immobiliser des proies de grande taille
Mode de vie Barbourofelis était probablement un prédateur
solitaire, actif dans les savanes boisées et les zones de transition
entre forêts et prairies. Il utilisait l’embuscade pour chasser, se
dissimulant dans la végétation avant de fondre sur sa proie. Sa
morphologie indique une locomotion plantigrade ou semi-digitigrade, avec
une démarche plus lente mais puissante. Il aurait pu occuper une niche
écologique similaire à celle des grands félins actuels, en compétition
avec d’autres carnivores comme Amphicyon ou les premiers félidés
Alimentation Ce carnivore se nourrissait principalement de
grands herbivores comme les équidés primitifs, les rhinocéros du Miocène
ou les camélidés. Ses canines en sabre servaient à infliger des
blessures profondes, tandis que ses mâchoires puissantes permettaient de
maintenir la proie. Il consommait probablement les muscles et les
organes internes en priorité, comme le font les félins modernes. Des
traces fossiles indiquent une spécialisation dans la chasse aux proies
de grande taille plutôt qu’un régime opportuniste
Extinction Barbourofelis a disparu vers la fin du Miocène, dans
un contexte de changements climatiques et écologiques majeurs. Le recul
des forêts, l’expansion des prairies et la diversification des
carnivores plus modernes ont contribué à son déclin. La concurrence avec
les félidés émergents, mieux adaptés à la course et à la chasse en
terrain ouvert, a probablement accéléré son extinction. Il ne laisse pas
de descendants directs, mais illustre une branche spécialisée de la
radiation des carnivores pré-félins |
Nimravus
(Moins de 150 cm,
moins de 60 kg)
L’image représente une illustration artistique d’un chat à dents
de sabre, identifié par le nom «Chat-dents de sabre» et le genre
«Nimravus». L’animal est montré en mouvement dans un environnement
naturel composé d’herbes et d’arbres, avec la gueule ouverte laissant
apparaître ses longues canines caractéristiques. La posture dynamique et
le décor forestier suggèrent son habitat préhistorique et renforcent
l’impression de puissance et d’agilité. |
†Nimravidés
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Amphicyon
(Moins de 250 cm,
moins de 600 kg)
L’image montre une illustration numérique d’un animal
préhistorique nommé Amphicyon, spécifiquement identifié comme
Amphicyon ingens. Ce mammifère éteint, souvent appelé
«chien-ours», présente une morphologie intermédiaire entre celle d’un
ours et d’un grand canidé. Il est représenté en pleine course, gueule
ouverte, exhibant ses dents acérées dans une posture évoquant la chasse
ou l’agression. Le décor forestier en arrière-plan, composé d’arbres et
de broussailles, suggère son habitat naturel et renforce l’impression de
puissance et de mobilité. |
†Amphicyonidés
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Hesperocyon
(Moins de 80 cm,
moins de 5 kg)
L’image représente une illustration réaliste de Hesperocyon
gregarius, un mammifère préhistorique de petite taille au corps
élancé, aux pattes courtes et à la queue touffue, évoquant une
silhouette proche du renard. L’animal est montré marchant sur un terrain
sec et herbeux, parsemé de végétation clairsemée, avec des collines en
arrière-plan sous un ciel partiellement nuageux. L’ensemble suggère un
environnement ouvert et aride, typique de son habitat fossile, et met en
valeur son allure discrète mais agile. |
Canidés
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Crocuta crocuta spelaea
(Moins de 150 cm,
moins de 120 kg)
L’image présente une illustration réaliste de la hyène des
cavernes, identifiée scientifiquement comme Crocuta crocuta spelaea.
L’animal est représenté debout sur un terrain herbeux, gueule ouverte,
exhibant ses dents acérées dans une posture évoquant le grognement ou le
rugissement. En arrière-plan, un paysage montagneux sous un ciel nuageux
renforce l’atmosphère sauvage et préhistorique de la scène. Cette
représentation met en valeur la puissance et l’adaptabilité de cette
sous-espèce éteinte de la hyène tachetée, qui vivait durant le
Pléistocène. |
Hyénidés
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Amphimachairodus
(Moins de 250 cm,
moins de 400 kg)
L’image illustre un félin préhistorique du genre
Amphimachairodus, représenté en plein saut dans un environnement
forestier dense. L’animal possède une musculature puissante, une queue
courte et des canines supérieures allongées caractéristiques des chats à
dents de sabre. Le ciel nuageux et les grands arbres en arrière-plan
renforcent l’atmosphère sauvage et ancienne de la scène. Cette
représentation dynamique évoque un prédateur agile et redoutable ayant
vécu au Miocène. |
Félidés
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Epicyon
(Moins de 150 cm, moins de 90 kg)
L’image représente une illustration réaliste de Epicyon
haydeni, un mammifère préhistorique appartenant à la famille des
canidés. L’animal est figuré en marche sur un sol terreux, dans une
posture agressive, gueule ouverte et dents acérées bien visibles,
accentuant son allure de prédateur puissant. Sa morphologie robuste,
avec une tête massive, un thorax large et des membres musclés, évoque
une grande force physique. L’arrière-plan montre un paysage de savane
parsemé d’arbres et de montagnes sous un ciel partiellement nuageux,
suggérant un habitat ouvert et semi-aride. |
Canidés

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Eusmilus
(Moins de 120 cm, moins de 40 kg) |
†Nimravidés |
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Arctodus simus
(Moins de 350 cm, moins de 1 t) |
Ursidés |
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Repenomamus
(Moins de 100 cm, moins de 14 kg) |
†Gobiconodontidés |
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Thylacolea
(Moins de 150 cm, moins de 160 kg) |
Diprotodontes |
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Thylacosmilus
(Moins de 150 cm, moins de 120 kg) |
†Thylacosmilidés |
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Mesonyx
(Moins de 150 cm, moins de 100 kg) |
†Mesonychidés |
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Pakicetus
(Moins de 200 cm, moins de 80 kg) |
Ongulés |
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Agriotherium
(Moins de 300 cm, moins de 900 kg) |
Ursidés |
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Autres Carnivores
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Genres |
Classification |
Trace et période
& Description |
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Pantolambda |
Omnivore |
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Carodnia |
herbivore |
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Mammuthus |
Proboscidien |
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Coelodonta |
Périssodactyle |
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Glyptodon |
Xénarthre |
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Doedicurus |
Xénarthre |
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Megalocercos |
Artiodactyle |
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Elasmotherium |
Périssodactyle |
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Bison priscus |
Artiodactyle |
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Aurochs |
Artiodactyle |
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Megatherium |
Xénarthre |
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Glyptotherium |
Xénarthre |
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Procoptodon |
Marsupial |
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Diprotodon |
Marsupial |
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Canariomys |
Rongeur |
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Purgatorius |
Primate |
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Phosphaterium |
Proboscidien |
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Cimexomys |
Allotherien |
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Plesiadapis |
Primate |
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Mesodma |
Allotherien |
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Protungulatum |
Euungulé |
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Juramaia |
primitif |
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Castorocauda |
primitif |
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Docodon |
primitif |
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Hyracotherium |
Périssodactyle |
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Uintatherium |
Dinocerates |
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Deinotherium |
Proboscidien |
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Mastodon |
Proboscidien |
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Chalicotherium |
Périssodactyle |
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|
Australopithèque |
Primate |
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Agriotherium |
Primate |
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|
Kenyapithecus |
Primate |
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|
Dryopithecus |
Primate |
|
|
|
Griphopithecus |
Primate |
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|
Josephoartigasia
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Rongeurs |
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Cervalces |
Artiodactyle |
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