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Ansériformes en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Anas
laysanensis — Canard de Laysan
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CR
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Effectifs restants La population actuelle du Canard de
Laysan (Anas laysanensis) est estimée entre 500 et 680 individus matures.
Cette population connaît des fluctuations importantes, notamment en
raison de catastrophes naturelles et de maladies comme le botulisme aviaire.
Malgré ces aléas, la tendance globale est à une légère augmentation depuis
les années 2000, grâce à des efforts de conservation et de translocation.
Aire de répartition actuelle L’espèce est endémique des îles
hawaïennes. Historiquement répandue sur plusieurs îles de l’archipel, elle
est aujourd’hui confinée à trois sites : l’atoll de Laysan (son habitat
principal), l’atoll de Midway (où elle a été réintroduite en 2004–2005), et
plus récemment l’atoll de Kure. L’aire d’occurrence totale est extrêmement
réduite, estimée à seulement 2 km².
Risque d’extinction Le Canard de Laysan est classé « En danger
critique d’extinction » (CR) par l’UICN. Ce
statut reflète sa vulnérabilité extrême liée à la taille réduite de sa
population, à son aire de répartition très limitée, et à sa dépendance à des
écosystèmes insulaires fragiles. Les principales menaces incluent les
maladies (notamment le botulisme aviaire), les événements climatiques
extrêmes (comme les tsunamis), et l’introduction de prédateurs ou de
compétiteurs. Malgré les efforts de conservation, l’espèce reste exposée à
un risque élevé d’extinction en cas de perturbation majeure.
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Anas
nesiotis — Sarcelle de Campbell
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VU 
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Effectifs restants La population actuelle de la sarcelle de
Campbell (Anas nesiotis) est estimée à environ 100 à 200 individus matures.
Après avoir été considérée comme éteinte pendant plusieurs décennies,
l’espèce a été redécouverte en 1975 sur l’île Dent, un îlot satellite de
l’île Campbell. Depuis, un programme de réintroduction a permis d’établir
une population sur l’île principale, mais les effectifs restent faibles et
vulnérables aux aléas environnementaux.
Aire de répartition actuelle L’espèce est strictement endémique des
îles subantarctiques de Nouvelle-Zélande. Elle est aujourd’hui présente sur
l’île Dent et sur l’île Campbell, où elle a été réintroduite avec succès.
Ces îles sont isolées, froides et soumises à des conditions climatiques
extrêmes, mais elles offrent un refuge naturel en l’absence de prédateurs
introduits, qui avaient causé la disparition initiale de l’espèce sur l’île
principale
Risque d’extinction La sarcelle de Campbell est classée «
Vulnérable » (VU D2) par l’UICN. Ce statut reflète une forte sensibilité aux
événements stochastiques, en raison de la très faible taille de la
population et de son aire de répartition extrêmement restreinte. Les
principales menaces incluent les maladies, les changements climatiques, et
le risque de réintroduction accidentelle de prédateurs comme les rats. Bien
que les efforts de conservation aient permis une reprise partielle, l’espèce
reste exposée à un risque élevé d’extinction en cas de perturbation majeure.
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Aythya
innotata — Fuligule de Madagascar
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CR
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Le Fuligule de Madagascar (Aythya innotata) est classé en danger
critique d’extinction par l’UICN, avec une population estimée à moins de 100
individus sauvages confinés à un seul site dans le nord de Madagascar.
Effectifs restants Avant sa redécouverte en 2006, l’espèce était
considérée comme éteinte depuis 1991. Les premières observations modernes
ont révélé 9 adultes et 4 canetons sur le lac Matsaborimena. Grâce à un
programme de conservation lancé en 2009, la population est passée à environ
60 individus en 2025, incluant des naissances en captivité et des
réintroductions sur le lac Sofia. Malgré cette progression, la mortalité
juvénile reste élevée et la population demeure extrêmement vulnérable.
Aire de répartition Historiquement présent sur le lac Alaotra, le
Fuligule de Madagascar est aujourd’hui confiné à deux sites : le lac
Matsaborimena (site de redécouverte) et le lac Sofia (site de
réintroduction). Ces lacs sont situés dans le nord-ouest de Madagascar, à
environ 50 km l’un de l’autre. L’espèce fréquente les zones humides d’eau
douce peu profondes, combinant des étendues libres et des secteurs de
végétation dense.
Risque d’extinction Le Fuligule de Madagascar est menacé par la
destruction de son habitat (drainage, conversion en rizières, érosion), la
pollution, la chasse, les filets de pêche et l’introduction d’espèces
exotiques. Sa faible fécondité (deux poussins par couvée), son isolement
géographique et sa dépendance à des sites non protégés aggravent le risque
d’extinction. Il figure parmi les 100 espèces les plus menacées au monde
selon l’UICN
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Tadorna
cristata — Tadorne de Corée
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CR
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Le Tadorne de Corée (Tadorna cristata) est classé en danger critique
d’extinction par l’UICN, avec une population estimée à moins de 50 individus
et aucune observation confirmée depuis 1964.
Effectifs restants La population mondiale est estimée entre 1 et 49
individus matures. Aucun individu n’a été observé avec certitude depuis
1964, malgré des campagnes de recherche. Des signalements non confirmés ont
été rapportés en Chine du Nord-Est, en Corée du Nord et en Russie orientale,
mais aucun n’a été vérifié. L’espèce est donc considérée comme possiblement
encore existante, mais au bord de l’extinction.
Aire de répartition Historiquement, le Tadorne de Corée était
présent dans l’est de la Russie (Primorié), la Corée du Sud, la Corée du
Nord et peut-être le nord-est de la Chine. Il fréquentait les zones humides
côtières, les estuaires et les embouchures de rivières. Son aire de
répartition actuelle est inconnue, mais l’UICN estime son étendue à
seulement 14 km², ce qui reflète une distribution extrêmement restreinte et
fragmentée.
Risque d’extinction L’espèce est menacée par la perte et la
dégradation des zones humides, la chasse, les dérangements humains et
l’absence de mesures de conservation ciblées. Le manque de données empêche
toute action concrète. Son statut de migrateur complique les recherches, et
sa rareté extrême rend toute observation difficile. L’UICN la maintient en
danger critique d’extinction plutôt que comme éteinte, en raison de
signalements persistants non confirmés. Toute population restante serait
minuscule, isolée et très vulnérable.
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Galliformes en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Faisan
d’Edwards (Lophura edwardsi)
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CR
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Le Faisan d’Edwards (Lophura edwardsi) est classé en danger critique
d’extinction par l’UICN, avec une population estimée à moins de 250
individus matures, tous confinés à quelques fragments forestiers du centre
du Vietnam.
Effectifs restants La population sauvage est estimée entre 50 et
249 individus matures. Elle est en déclin continu, avec une fragmentation
extrême et une faible diversité génétique. Des programmes de reproduction en
captivité ont permis de maintenir une lignée viable, mais les
réintroductions restent limitées et risquées. L’espèce figure sur la liste
des 100 espèces les plus menacées au monde établie par l’UICN en 2012.
Aire de répartition L’espèce est endémique des forêts tropicales
humides du centre du Vietnam, notamment dans les provinces de Quang Binh,
Thua Thien Huê, Ha Tinh et Quang Tri. Elle fréquente les sous-bois denses
des pentes montagneuses entre 200 et 1 000 mètres d’altitude, dans des zones
très humides et peu accessibles. Son aire de répartition actuelle est
extrêmement réduite et morcelée, avec une superficie estimée à moins de 100
km².
Risque d’extinction L’espèce est menacée par la déforestation, la
fragmentation de l’habitat, la chasse illégale, le piégeage et la pression
agricole. La faible résilience démographique, l’isolement génétique et
l’absence de corridors écologiques aggravent sa vulnérabilité. Bien que des
efforts de conservation soient en cours, notamment via la reproduction en
captivité et la sensibilisation locale, le risque d’extinction reste élevé
sans protection renforcée des habitats et contrôle strict des activités
humaines.
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Faisan
de Hatinh (Lophura edwardsi hatinhensis)
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CR
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Le Faisan de Hatinh (Lophura edwardsi hatinhensis) est considéré
comme une forme locale du Faisan d’Edwards, avec une aire de répartition
restreinte à la province de Ha Tinh au Vietnam et une population sauvage
probablement inférieure à 50 individus.
Effectifs restants Le Faisan de Hatinh n’est pas reconnu comme une
sous-espèce distincte par l’UICN, mais comme une variante géographique du
Faisan d’Edwards. Les observations dans la région de Ke Go (Ha Tinh)
suggèrent une population extrêmement réduite, probablement inférieure à 50
individus matures. Aucun recensement précis n’a été réalisé, et les données
génétiques indiquent une proximité étroite avec Lophura edwardsi. Des
individus captifs issus de cette lignée sont maintenus dans quelques centres
de conservation, mais leur statut taxonomique reste débattu.
Aire de répartition Cette forme est confinée aux forêts tropicales
humides de la province de Ha Tinh, dans le nord du centre du Vietnam. Elle
fréquente les sous-bois denses des pentes montagneuses entre 200 et 800
mètres d’altitude, dans des zones très humides et peu accessibles. Son aire
de répartition est fragmentée et limitée à quelques kilomètres carrés autour
de Ke Go, sans connexion avec les autres populations de Lophura edwardsi.
Risque d’extinction Le Faisan de Hatinh est menacé par la
déforestation, la fragmentation de l’habitat, le braconnage et l’absence de
reconnaissance taxonomique officielle, ce qui limite les mesures de
conservation ciblées. Sa faible diversité génétique, son isolement
géographique et la pression humaine locale aggravent sa vulnérabilité. En
l’absence de protection spécifique, cette forme pourrait disparaître sans
être officiellement reconnue comme entité distincte. Les experts
recommandent une révision taxonomique et une protection urgente des forêts
de Ke Go. |
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Colin à
ventre blanc (Odontophorus dialeucos)
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CR
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Le Colin à ventre blanc (Odontophorus dialeucos), aussi appelé Tocro
du Panama, est classé en danger critique d’extinction par l’UICN, avec une
population estimée à moins de 250 individus confinés à une aire restreinte
du massif du Darién, à la frontière entre le Panama et la Colombie.
Effectifs restants La population totale est estimée entre 50 et 250
individus matures. L’espèce est extrêmement discrète et difficile à
détecter, ce qui complique les recensements. Elle est probablement en déclin
continu en raison de la perte d’habitat et de la fragmentation des forêts.
Aucun programme de suivi à long terme n’est actuellement en place, et les
données récentes sont rares.
Aire de répartition Le Colin à ventre blanc est endémique de la
région montagneuse du mont Tacarcuna, dans le massif du Darién, à la
frontière entre le sud-est du Panama et le nord-ouest de la Colombie. Il
fréquente les forêts tropicales humides de montagne entre 1 000 et 1 500
mètres d’altitude. Son aire de répartition est extrêmement restreinte,
fragmentée et difficile d’accès, ce qui limite les observations et les
efforts de conservation.
Risque d’extinction L’espèce est menacée par la déforestation pour
l’agriculture, l’exploitation forestière illégale, la construction de routes
et le développement des cultures de subsistance. Sa faible capacité de
dispersion, son isolement géographique et sa spécialisation écologique
augmentent sa vulnérabilité. Le braconnage local, bien que limité, constitue
une menace supplémentaire. L’absence de données récentes et de mesures de
conservation ciblées renforce le risque d’extinction silencieuse. L’UICN la
classe en danger critique d’extinction depuis 2000.
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Faisan
ocellé du Vietnam (Rheinardia ocellata nigrescens)
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CR
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Le Faisan ocellé du Vietnam (Rheinardia ocellata nigrescens) est
classé en danger critique d’extinction par l’UICN, avec une population en
déclin rapide et une aire de répartition limitée aux forêts de la chaîne
annamitique au Vietnam et au Laos.
Effectifs restants La population est estimée entre 10 000 et 19 999
individus selon les densités théoriques, mais ce chiffre est jugé irréaliste
en raison du braconnage massif. Les experts estiment que la population
réelle est bien inférieure, avec une chute rapide observée depuis les années
2000. L’espèce est absente ou proche de l’extinction dans plusieurs sites
historiques comme Ke Go et Dakrong. Le nombre de localités occupées est
estimé entre 11 et 100, avec un déclin continu.
Aire de répartition L’espèce est présente dans les forêts
montagneuses de la chaîne annamitique, entre la province de Nghe An et le
plateau de Da Lat au Vietnam, ainsi que dans l’est du Laos. Elle fréquente
les forêts primaires humides entre 200 et 1 200 mètres d’altitude. L’étendue
d’occurrence est estimée à 126 000 km², mais l’aire d’occupation réelle est
inconnue et en déclin.
Risque d’extinction Le Faisan ocellé est menacé par le braconnage
intensif au collet métallique, qui a décimé les populations dans les zones
accessibles. La perte de couverture forestière facilite l’accès des
chasseurs et réduit la qualité de l’habitat. L’espèce est très sensible au
dérangement et ne survit pas dans les forêts dégradées. L’UICN le classe en
danger critique d’extinction selon les critères A2bcd+3bcd+4bcd, en raison
de la rapidité et de l’ampleur du déclin. Des extinctions locales sont
confirmées, et l’espèce pourrait disparaître sans mesures urgentes de
protection. |
Podicipédiformes en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Grèbe de Madagascar (Tachybaptus
rufolavatus)
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CR
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Columbiformes en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Colombe de Keay (Gallicolumba keayi)
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CR 
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Colombe de Menage (Gallicolumba menagei)
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CR
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Ducule de Mindoro (Ducula mindorensis)
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CR
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Pigeon rose (Nesoenas mayeri)
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CR
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Mésitornithiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Mésite à poitrine blanche (Mesitornis variegata)
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CR |
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Apodiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Colibri de Juan Fernández (Sephanoides fernandensis)
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CR |
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Colibri d’Erikson (Eriocnemis isabellae)
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CR |
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Colibri de Santa Marta (Campylopterus phainopeplus)
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CR |
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Otidiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Outarde du Bengale (Ardeotis
nigriceps)
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CR |
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Charadriiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Pluvier de Sainte-Hélène (Charadrius sanctaehelenae)
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CR |
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Bécasseau spatule (Calidris pygmaea)
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CR |
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Chevalier de Nordmann (Tringa guttifer)
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CR |
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Sterne
de Chine (Sterna bernsteini)
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CR |
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Gruiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Râle de Guam (Hypotaenidia owstoni)
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CR |
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Râle de Nouvelle-Bretagne (Hypotaenidia insignis)
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CR |
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Râle de Zapata (Cyanolimnas cerverai)
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CR |
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Grue blanche, ou de Sibérie (Leucogeranus leucogeranus)
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CR |
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Procellariiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Albatros des Galápagos (Phoebastria irrorata)
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CR |
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Pétrel de Zino (Pterodroma madeira)
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CR |
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Pétrel de Chatham (Pterodroma axillaris)
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CR |
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Pétrel de MacGillivray (Pterodroma macgillivrayi)
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CR |
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Pétrel de l’île de Noël (Puffinus nativitatis)
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CR |
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Océanite de Monteiro (Hydrobates monteiroi)
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CR |
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Pétrel de Beck (Pseudobulweria becki)
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CR |
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Pétrel de Tahiti (Pseudobulweria rostrata)
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CR 
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Sphénisciformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Gorfou de Moseley (Eudyptes moseleyi)
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CR 
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Pélécaniformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Héron impérial (Ardea insignis)
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CR |
 |
Psittaciformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Kakapo (Strigops habroptilus)
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CR
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Perruche de Malherbe (Cyanoramphus malherbi)
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CR
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Ara à gorge bleue (Ara glaucogularis)
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CR
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Perroquet à bec épais (Rhynchopsitta pachyrhyncha)
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CR
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Amazone de Sainte-Lucie (Amazona versicolor)
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CR
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Amazone de Saint-Vincent (Amazona guildingii)
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CR |
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Rapaces "diurnes"
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Buse de Ridgway (Buteo ridgwayi)
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CR
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Milan de Cuba (Chondrohierax wilsonii)
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CR
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Vautour indien (Gyps bengalensis)
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CR
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Vautour indien à long bec (Gyps indicus)
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CR
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Vautour indien à bec grêle (Gyps tenuirostris)
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CR
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 |
Rapaces "nocturnes"
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Chouette de Mohéli (Otus moheliensis)
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CR |
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|
Chouette de Siau (Otus siaoensis)
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CR |
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Chouette de Principe (Otus bikegila)
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CR 
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Chouette de Mindoro (Otus mindorensis)
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CR |
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Chouette de Negros (Otus nigrorum)
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CR

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Chouette de Cebu (Otus megalotis cebuensis)
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CR |
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Chouette de Pemba (Otus pembaensis)
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CR |
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Chouette de São Tomé (Otus hartlaubi)
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CR |
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Chouette de Java (Otus angelinae)
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CR

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Chouette de Palawan (Otus fuliginosus)
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CR 
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Chouette de Flores (Otus alfredi)
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CR |
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Piciformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
|
Dendrocopos cebuensis (Pic de Cebu)
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CR |
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Coraciiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Martin-chasseur de Guam (Todiramphus cinnamominus)

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CR |
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Bucérotiformes
en danger critique
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Nom |
Statut |
Effectifs restants, aire
de répartition actuel et risque d'extinction (EW ou CR) |
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Rhinoplax vigil — le Calao à casque rond

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CR |
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