Reptiles des Galapagos

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Sauriens (endémiques) des iles Galapagos

Nom Famille Distribution géographique Description
Iguane marin des Galapagos (Amblyrhynchus cristatus) Iguanidés L’iguane marin des Galápagos (Amblyrhynchus cristatus) est une espèce endémique de l’archipel des Galápagos, présente sur la majorité des îles principales telles que Fernandina, Isabela, Santa Cruz, San Cristóbal, Española, Floreana et Genovesa. Chaque île abrite des sous-populations qui varient en taille, en couleur et en comportement, certaines étant parfois considérées comme des sous-espèces. Ces iguanes vivent principalement sur les côtes rocheuses, où ils se nourrissent d’algues marines qu’ils broutent en plongeant dans l’océan. Ils sont les seuls lézards marins connus, capables de retenir leur souffle jusqu’à 30 minutes et de nager avec aisance. Leur corps est noirâtre, parfois teinté de rouge ou de vert selon l’île, et ils possèdent une crête dorsale épineuse. Après leurs plongées, ils se réchauffent au soleil et expulsent le sel absorbé en secouant la tête, ce qui leur donne une apparence de dragon cracheur. Leur adaptation à la vie marine est exceptionnelle parmi les reptiles. L’iguane marin des Galápagos (Amblyrhynchus cristatus) est une créature unique au monde, le seul lézard capable de vivre et se nourrir en milieu marin. Les mâles adultes peuvent mesurer jusqu’à 1,70 mètre et peser environ 15 kg, tandis que les femelles atteignent généralement 1 mètre. Leur corps est robuste, avec une queue aplatie latéralement qui facilite la nage, des griffes acérées pour s’agripper aux rochers, et une crête dorsale épineuse qui leur donne une allure préhistorique.
Leur comportement est étroitement lié à leur environnement côtier. Ils sont diurnes et passent une grande partie de la journée à se prélasser au soleil pour se réchauffer, car ce sont des animaux ectothermes. Après avoir plongé dans les eaux froides du Pacifique pour brouter des algues, ils reviennent sur les rochers pour récupérer leur chaleur corporelle. Ils peuvent plonger jusqu’à 15 mètres de profondeur et rester sous l’eau pendant une trentaine de minutes, bien que la plupart des plongées durent moins de dix minutes. Lorsqu’ils sont refroidis, leur mobilité diminue, les rendant vulnérables aux prédateurs. Ils expulsent le sel absorbé en mer par leurs glandes nasales, ce qui leur donne souvent une tête blanchie par les cristaux de sel.
Leur apparence varie selon les îles : les mâles des îles du sud comme Española arborent des couleurs rouge et bleu-vert pendant la saison de reproduction, tandis que ceux de Santa Cruz sont rouge brique et noir. Cette diversité est liée à l’adaptation locale aux conditions écologiques de chaque île. Sur terre, ils sont maladroits, mais dans l’eau, ce sont des nageurs gracieux, parfaitement adaptés à leur niche écologique.
Iguane terrestre des Galapagos (Conolophus subcristatus) Iguanidés L’iguane terrestre des Galápagos (Conolophus subcristatus) est une espèce strictement endémique de l’archipel des Galápagos, situé dans l’océan Pacifique au large de l’Équateur. Sa distribution couvre plusieurs îles principales, notamment Fernandina, Isabela, Santa Cruz, Seymour Nord, Baltra et Plaza Sud. Il a également été réintroduit sur l’île de Santiago, où il avait disparu. Chaque population insulaire présente des variations morphologiques et comportementales, mais toutes appartiennent à la même espèce. Cette répartition géographique reste limitée, ce qui rend l’espèce vulnérable aux menaces comme les prédateurs introduits et la perte d’habitat. L’iguane terrestre des Galápagos (Conolophus subcristatus) est un reptile impressionnant, endémique de l’archipel des Galápagos. Il mesure entre 0,9 et 1,5 mètre de long et peut peser jusqu’à 13 kg selon l’île où il vit. Son corps est trapu, avec des pattes arrière puissantes, une queue longue et une crête dorsale épineuse qui s’étend du cou au dos. Sa peau est rugueuse, souvent orange jaunâtre sur le ventre et rouge brunâtre sur le dos, ce qui lui donne une allure préhistorique.
Son comportement est principalement diurne et solitaire. Il passe ses journées à se prélasser au soleil sur des roches volcaniques pour se réchauffer, et la nuit il se réfugie dans des terriers pour conserver sa chaleur corporelle. Il est territorial, surtout chez les mâles qui défendent leur zone par des hochements de tête et des combats. Il entretient une relation mutualiste avec certains oiseaux comme les pinsons de Darwin, qui le débarrassent de ses parasites.
Son régime alimentaire est majoritairement herbivore, composé à 80 % de cactus du genre Opuntia, dont il consomme les fruits, les fleurs et même les épines pour s’hydrater. Il peut aussi manger occasionnellement des insectes ou des charognes. Il atteint la maturité sexuelle entre 8 et 15 ans et peut vivre jusqu’à 60 ou 70 ans. C’est une espèce vulnérable, menacée par les prédateurs introduits et la perte d’habitat, mais protégée par des programmes de conservation comme ceux de la Station Charles-Darwin
Iguane terrestre de Santa Fe(Conolophus pallidus)
Iguane de lave de Santa Cruz (Microlophus indefatigabilis)
Iguanidés L’iguane terrestre de Santa Fe (Conolophus pallidus) est une espèce strictement endémique de l’île Santa Fe, dans l’archipel des Galápagos. Il ne vit nulle part ailleurs, ce qui en fait une espèce à distribution extrêmement restreinte.
L’iguane de lave de Santa Cruz (Microlophus indefatigabilis) est quant à lui endémique de l’île Santa Cruz, ainsi que de Baltra, Seymour Nord et de treize petits îlots environnants, dont Caamaño, Daphne Major, Edén, Guy Fawkes (Est, Nord, Ouest, Sud), Mosquera, Plaza Nord, Plaza Sud, Punta Bowditch (Nord et Sud) et Venecia.  Cette espèce occupe une superficie totale d’environ 773 km² dans l’archipel.
Deux espèces, deux territoires bien définis, chacun façonné par l’isolement insulaire et l’évolution locale.
L’iguane terrestre de Santa Fe (Conolophus pallidus) et l’iguane de lave de Santa Cruz (Microlophus indefatigabilis) sont deux reptiles endémiques des Galápagos, très différents par leur taille, leur comportement et leur écologie.
L’iguane terrestre de Santa Fe est un grand reptile robuste. Les mâles atteignent jusqu’à 114 cm de la tête à la queue, les femelles environ 100 cm. Il est diurne, terrestre, et creuse des terriers pour se protéger de la chaleur. Il se nourrit principalement de cactus Opuntia, mais consomme aussi des herbes, des feuilles, des fruits et parfois des insectes ou des charognes. Les juvéniles sont semi-arboricoles et insectivores. Les mâles défendent leur territoire par des hochements de tête et des combats. Il est reconnaissable à sa peau pâle, crème ou jaunâtre, sans marques contrastées, et à sa tête large et crête dorsale bien développée.
L’iguane de lave de Santa Cruz est beaucoup plus petit. Les mâles mesurent environ 23 cm, les femelles 18 cm. Il est diurne, agile, et passe la majorité de son temps sur les rochers, mais peut grimper jusqu’à 4,5 mètres sur des murs ou des cactus. Il est omnivore, avec une forte tendance frugivore, consommant fruits, fleurs, insectes, araignées, et parfois même des restes alimentaires en milieu urbain. Les mâles sont territoriaux, gardent des harems, et utilisent des pompes (push-ups) pour intimider leurs rivaux. Il peut perdre sa queue pour échapper aux prédateurs. Les mâles ont une gorge rouge et noire, les femelles un visage orange et une marque noire à l’épaule.
En comparaison, Conolophus pallidus est massif, lent et spécialisé dans un régime végétal, tandis que Microlophus indefatigabilis est petit, rapide, opportuniste et très adaptable. L’un incarne la puissance tranquille des zones arides, l’autre l’agilité vive des milieux rocheux et urbains. Deux stratégies évolutives, deux styles de vie, mais un même archipel comme berceau.
Gecko des Galapagos (Phyllodactylus galapagoensis)
Gecko de Baur (Phyllodactylus baurii)
Gekkonidés Le gecko des Galápagos (Phyllodactylus galapagoensis, aussi appelé galapagensis) et le gecko de Baur (Phyllodactylus baurii) sont deux espèces endémiques de l’archipel des Galápagos, chacune avec une répartition bien spécifique.
Le gecko des Galápagos est présent sur plusieurs îles et îlots de l’archipel. Sa distribution couvre environ 388 km², incluant les îles Baltra, Santa Cruz, Seymour Nord, ainsi que les îlots Caamaño, Daphne Major, Guy Fawkes, Plaza Nord et Plaza Sud. Il existe plusieurs sous-espèces associées à des îles spécifiques, comme daphnensis sur l’île Daphne. Cette espèce est considérée comme quasi menacée en raison de la pression environnementale et de la fragmentation de son habitat.
Le gecko de Baur est encore plus localisé. Il se trouve uniquement sur l’île Floreana (anciennement appelée Charles Island), ainsi que sur ses îlots satellites
Champion
et Enderby, et également sur l’île Española. Son habitat préféré est constitué de zones arbustives. En raison de sa répartition très restreinte et du manque de données sur sa population, il est classé comme "données insuffisantes" par l’UICN.
Deux espèces discrètes, nocturnes et arboricoles, qui témoignent de l’extraordinaire diversité évolutive des Galápagos. Si tu veux, je peux aussi te parler de leur comportement ou de leur apparence.
Le gecko des Galápagos (Phyllodactylus galapagoensis) et le gecko de Baur (Phyllodactylus baurii) sont deux espèces nocturnes endémiques de l’archipel, mais elles diffèrent nettement par leur taille, leur comportement et leur répartition écologique.
Le gecko des Galápagos mesure environ 9,4 cm chez les mâles et 9,2 cm chez les femelles. Il est principalement terrestre mais peut grimper jusqu’à 3 mètres sur des rochers, des cactus ou des arbres. Il vit dans des zones de forêt sèche, de broussailles et de prairies proches du littoral. Il est insectivore, actif juste après le coucher du soleil, et se réfugie le jour sous des blocs de lave, des écorces ou des rochers. Il est discret, non territorial, et peut perdre sa queue pour échapper aux prédateurs. Sa peau est brun clair avec des taches sombres, ce qui lui offre un bon camouflage.
Le gecko de Baur est légèrement plus petit, avec une taille maximale de 8,7 cm chez les femelles et 8,3 cm chez les mâles. Il est aussi nocturne et terrestre, mais grimpe moins haut, jusqu’à 1,7 mètre. Il vit dans des zones de broussailles sèches, des grottes et des jardins ruraux, principalement sur les îles Floreana, Champion, Enderby et Española. Il est insectivore, surtout actif par temps sec ou légèrement humide. Il se cache le jour sous des blocs de lave ou dans des fissures. En cas de menace, il peut fuir, détacher sa queue et émettre des sons aigus. Sa coloration est gris brun pâle avec des taches sombres irrégulières et des points blancs.
En comparaison, Phyllodactylus galapagoensis est légèrement plus grand, plus grimpeur et plus répandu, tandis que Phyllodactylus baurii est plus discret, localisé et vocal en cas de stress. Tous deux sont adaptés à la vie nocturne et à la prédation, mais leur morphologie et leur comportement reflètent les contraintes écologiques spécifiques de leurs îles respectives.
Iguane rose (Conolophus marthae) Iguanidés L’iguane rose des Galápagos (Conolophus marthae) possède une distribution extrêmement restreinte. Il est strictement endémique du nord de l’île Isabela, dans l’archipel des Galápagos, et ne se trouve que sur les flancs nord et ouest du volcan Wolf, dans une zone limitée d’environ 25 km². Cette population unique partage son habitat avec Conolophus subcristatus, une autre espèce d’iguane terrestre.
Durant la saison des pluies, Conolophus marthae se réfugie dans la végétation arbustive près du sommet du volcan, à l’extérieur du cratère. En saison sèche, il descend vers les forêts tropicales sèches situées au pied du volcan, autour de 600 mètres d’altitude.
Cette aire de répartition minuscule, combinée à une population estimée à moins de 200 individus, en fait une espèce en danger critique d’extinction selon l’UICN
 
L’iguane rose des Galápagos (Conolophus marthae) est une espèce rare et spectaculaire, endémique du volcan Wolf, au nord de l’île Isabela. Les mâles mesurent jusqu’à 108 cm de longueur totale et pèsent environ 8 kg, tandis que les femelles atteignent 77 cm pour un poids inférieur à 6 kg. Leur apparence est unique : une peau rose striée de noir, une tête rosâtre, des pattes et un corps aux teintes rose et noir, une queue gris sombre, et des rayures noires dorso-latérales. Les mâles possèdent une crête nucale adipeuse, différente de celle des autres iguanes terrestres.
Leur comportement est principalement diurne et terrestre. Ils vivent dans des terriers profonds de 2 à 3 mètres, qu’ils utilisent pour se protéger du froid la nuit ou en cas de menace. Ils sont solitaires mais peuvent se regrouper ponctuellement. Les mâles sont territoriaux et utilisent un hochement de tête rapide et distinctif pour intimider ou séduire, bien plus rapide que chez les autres espèces du genre Conolophus. Leur régime alimentaire est essentiellement herbivore, composé de plantes locales comme les cactus Opuntia, les herbes, les arbustes et parfois des végétaux introduits. Les jeunes sont probablement insectivores et semi-arboricoles.
Cette espèce est en danger critique d’extinction, avec une population estimée à moins de 200 individus, confinée à une zone de moins de 15 km². Elle est menacée par les prédateurs introduits comme les chats et les rats, la compétition avec
Conolophus subcristatus.

Draw a Galápagos marine iguana (Amblyrhynchus cristatus) in action within its natural habitat, showcasing its unique features and behaviors. Draw a Galapagos land iguana in action in its natural habitat, including its scientific name (Conolophus subcristatus) and French name (Iguane terrestre des Galápagos).  Draw a Santa Fe land iguana (Conolophus pallidu Draw a Galapagos Gecko (Phyllodactylus galapagoensis) and a Baur Gecko (Phyllodactylus bauri Draw a pink iguana (Conolophus marthae) in action in their natural habitat, including their French and scientific names.

 

Ophidiens (endémiques) des iles Galapagos

Nom Famille Distribution géographique Description
Couleuvre des Galapagos (Pseudalsophis biserialis)
Couleuvre de Steindachner (Pseudalsophis steindachneri)
Dipsadidés    
Couleuvre d'Espanola (Pseudalsophis hoodensis)
Couleuvre de Slevin (Pseudalsophis slevini)
Dipsadidés    
Couleuvre occidentale (Pseudalsophis occidentalis) Dipsadidés    
Couleuvre de Thomas (Pseudalsophis thomasi) Couleuvre de Darwin (Pseudalsophis darwini) Dipsadidés    

Draw a Galapagos Racer Snake (Pseudalsophis biserialis) and a Steindachner Racer Snake (Pseudalsophis steindachneri) in action in their natural habitat, with their French and scientific names displayed. Draw an Espanola Racer (Pseudalsophis hoodensis) and a Slevin's Racer (Pseudalsophis slevin Western snake (Pseudalsophis occidentalis) in action in their natural habitat, with their French and scientific names Draw a Thomas's Racer (Pseudalsophis thomasi) and a Darwin's Racer (Pseudalsophis darwini) in action in their natural habitat, with their French and scientific names displayed.

 

Les Chéloniens endémiques aux îles Galapagos (10 espèces dont 2 éteintes)

Nom Famille Distribution géographique Description
Tortue géante de Pinta (Chelonoidis abingdonii)
Tortue géante d'Isabela du Nord (Chelonoidis becki)
Testudinidés Chelonoidis abingdonii – Tortue géante de Pinta
Endémique de l’île Pinta, aussi appelée île Abingdon, située au nord de l’archipel des Galápagos. Elle vivait dans des zones arides et rocheuses, avec peu de végétation, ce qui explique sa carapace en forme de "selle", adaptée pour atteindre les plantes hautes L’espèce est aujourd’hui éteinte, depuis la mort de George le Solitaire en 2012, dernier individu connu. Toutefois, des hybrides porteurs de gènes de Chelonoidis abingdonii ont été identifiés sur les flancs du volcan Wolf, dans le nord de l’île Isabela.


Chelonoidis becki – Tortue géante du nord d’Isabela
Elle est native du nord de l’île Isabela, la plus grande île de l’archipel. Sa distribution se concentre autour du volcan Wolf, une région difficile d’accès mais riche en biodiversité.Elle évolue dans des zones plus végétalisées que celles de Pinta, ce qui se reflète dans sa carapace bombée, typique des tortues vivant dans des milieux où la nourriture est proche du sol Cette espèce est toujours vivante, et fait l’objet de programmes de conservation, notamment en lien avec les tortues hybrides mentionnées plus haut.
La tortue de Pinta était endémique de l’île Pinta, au nord de l’archipel. Elle est aujourd’hui considérée comme éteinte, depuis la mort de son dernier représentant, George le Solitaire, en 2012. En revanche, Chelonoidis becki est toujours présente sur l’île Isabela, notamment dans la région du volcan Wolf, où une population importante subsiste. Des études récentes ont révélé que certaines tortues vivant près du volcan Wolf possèdent des gènes proches de Chelonoidis abingdonii, suggérant des croisements anciens ou la possible survie de lignées hybrides. Cela crée un lien génétique entre les deux espèces, bien que Chelonoidis becki soit une espèce distincte. Chelonoidis abingdonii avait une carapace en forme de "selle", typique des tortues vivant sur des îles arides, permettant une plus grande extension du cou pour atteindre la végétation haute. Chelonoidis becki, quant à elle, présente une carapace plus bombée, adaptée à un environnement plus végétalisé, où la nourriture est plus proche du sol. Chelonoidis abingdonii est devenue un symbole mondial de la conservation, notamment grâce à George le Solitaire. Chelonoidis becki, bien qu’encore présente, fait l’objet de programmes de suivi génétique et de protection, surtout depuis la découverte d’individus porteurs de gènes rares liés à des espèces disparues En somme, ces deux tortues incarnent à la fois la fragilité et la résilience de la biodiversité insulaire. L’une est devenue légende, l’autre pourrait bien détenir les clés d’une renaissance génétique inattendue
Tortue géante de San Cristobal (Chelonoidis chathamensis)
Tortue géante de Santiago (Chelonoidis darwini)
Testudinidés    
Tortue de Pinzón (Chelonoidis duncanensis)
Tortue de l'île Espanola (Chelonoidis hoodensis)
Testudinidés    
Tortue géante de Floreana (Chelonoidis nigra)
Tortue de Fernandina (Chelonoidis phantasticus).
Testudinidés    
Tortue géante de Sant-Cruz (Chelonoidis porteri).
Tortue géante d'Isabela du Sud (Chelonoidis vicina)
Testudinidés    

Dessine une Tortue géante de Pinta (Chelonoidis abingdonii) et une Tortue géante d'Isabela du Nord (Chelonoidis becki) en action dans leur milieu naturel. L'image doit inclure leurs noms en français et en latin, et être au format 1025x1536. Tortue géante de San Cristobal (Chelonoidis chathamensis) et Tortue géante de Santiago (Chelonoidis darwini) en action dans leur milieu naturel, avec leurs noms Français et scientifiques visibles, format 1025x1536 Une Tortue de Pinzón (Chelonoidis duncanensis) et une Tortue de l'île Espanola (Chelonoidis hoodensis) en action dans leur milieu naturel, illustrées dans un format vertical 1025x1536, avec leurs noms français et scientifiques visibles dans l'image. Tortue géante de Floreana (Chelonoidis nigra) et Tortue de Fernandina (Chelonoidis phantasticus) en action dans leur milieu naturel, avec leurs noms Français et scientifiques visibles, format 1025x1536 Deux tortues géantes — une de Santa Cruz (Chelonoidis porteri) et une d'Isabela du Sud (Chelonoidis vicina) — en action dans leur habitat naturel, avec leurs noms français et scientifiques visibles. Format 1025x1536.