Monotrèmes

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Classification (3 genres, 5 espèces).
Métazoaires-Triploblastiques-Cordés-Deutérostomiens-Vertébrés-Gnathostomes-Tétrapodes-Mammifères-Thériens-Protothériens-Monotrèmes
(Echidnés, ornithorynque)

dessine les becs les ongles et les queues des monotrèmes dessine le corps des monotrèmes, montrant les caractéristiques distinctives de l’ornithorynque et de l’échidné, y compris leur bec, leurs membres, leur queue et leur morphologie générale.

Les cinq sens chez les monotrèmes

Les monotrèmes, bien qu’appartenant aux mammifères, présentent des adaptations sensorielles uniques liées à leur mode de vie semi-aquatique (ornithorynque) ou fouisseur (échidné). Voici comment se développent leurs sens de la vue, de l’odorat, du goût, de l’audition et du toucher.

1. Vue

bulletOrnithorynque
bulletŒil adapté à la vision sous-marine : paupières épaisses et cristallin arrondi pour compenser la réfraction de l’eau.
bulletAcuité faible hors de l’eau ; il compte surtout sur l’électrolocalisation lorsqu’il chasse les invertébrés.
bulletÉchidné
bulletVision réduite : yeux petits et paupières peu mobiles.
bulletSe fie davantage aux vibrations du sol et à son odorat pour détecter proies et prédateurs.

2. Odorat

bulletÉchidné
bulletCavité nasale très développée ; bulbe olfactif proportionnellement grand.
bulletUtilise l’odorat pour localiser termitières et fourmilières sous la litière.
bulletOrnithorynque
bulletOdorat modéré ; narines de surface sur le bec pour capter les odeurs près de la berge.
bulletCombine odorat et électrorécepteurs pour distinguer proies et substrat.

3. Goût

bulletOrganes gustatifs
bulletPapilles gustatives classiques sur la langue, avec les cinq saveurs de base (salé, sucré, acide, amer, umami).
bulletGoût peu documenté : semble surtout utile pour éviter les substances toxiques ou avariées.
bulletParticularité
bulletInteraction étroite entre goût et odorat ; le goût perçu renforce l’identification olfactive des aliments.

4. Audition

bulletOrnithorynque
bulletOreilles externes absentes ; conduits auditifs visibles juste derrière les yeux.
bulletBonne sensibilité aux basses fréquences, utile pour percevoir mouvements aquatiques.
bulletÉchidné
bulletOreilles camouflées sous les piquants ; pavillons réduits.
bulletAudition principalement destinée à détecter prédateurs et congénères durant l’activité nocturne ou crépusculaire.

5. Toucher

bulletÉchidné
bulletPeau très innervée à la base des piquants et sous les coussinets plantaires.
bulletMécanorécepteurs réagissent à la pression et aux vibrations du sol.
bulletOrnithorynque
bulletBourrelets tactiles sensibles sur le pourtour du bec ; corpuscules de Merkel et de Meissner abondants.
bulletCombine toucher et électrolocalisation : chaque proie génère un champ électrique et une perturbation mécanique.

 

Morphologie des monotrèmes

Les monotrèmes présentent une combinaison unique de caractères primitifs et dérivés, témoignant de leur position filogénétique ancienne parmi les mammifères. Ils associent des traits reptiliens (cloaque, épipubis, ceinture pectorale quadripartite) à des caractères typiquement mammaliens (poils, glandes mammaires, trois osselets).

 

1. Tégument et formations cornéennes

Les monotrèmes sont couverts soit de poils denses (ornithorynque), soit de piquants mélangés à des poils (échidnés). Chaque espèce possède un « bec » corné formé d’un épaississement épidermique, non kératinisé chez l’ornithorynque, mais plus rigide chez les échidnés pour fouir le sol et capturer les insectes. Les mâles portent un éperon corné sur le tarse postérieur, relié à une glande à venin (venimeux seulement chez l’ornithorynque).

2. Crâne et mandibule

Le crâne monotrème reste de type mammalien (coquille crânienne soudée, trois osselets auditifs), mais se distingue par :

bulletUn pleurosphénoïde latéral prominent et un alisphénoïde réduit.
bulletUne mandibule formée d’un seul os dentaire, les autres os mandibulaires reliquats fusionnant ou disparaissant.
bulletChez l’ornithorynque juvénile, dents maxillaires qui dégénèrent pour être remplacées par des plaques cornées.

3. Ceinture pectorale et membres

La ceinture scapulaire monotrème conserve des os ancestraux : procoracoïdes pairs, interclavicules et coracoïdes développés, formant quatre pièces distinctes, comme chez les sauropsides. Les membres antérieurs massifs, aux griffes creusantes chez l’échidné et palmés chez l’ornithorynque, reflètent des modes de vie fouisseur vs amphibie. Les pattes postérieures, non palmées chez les échidnés, portent l’éperon venimeux chez le mâle ornithorynque.

 

4. Squelette pelvien et axial

Le rachis monotrème est assez semblable à celui des autres mammifères, mais la ceinture pelvienne intègre deux os marsupiaux (ou épipubis) ancrés sur le pubis. Les vertèbres présentent des apophyses similaires aux thériens, tandis que les côtes et les éléments sternaux restent classiques pour un mammifère homéotherme imparfait.

5. Cloaca et appareil reproducteur

Comme chez les reptiles et oiseaux, digestive, urinaire et génital convergent en un seul orifice : le cloaque. Les femelles possèdent deux oviductes fonctionnels (seul l’ovaire gauche actif chez l’ornithorynque), et pas de mamelons : le lait s’écoule par des pores cutanés dans une zone pileuse spécialisée. Les mâles ont un pénis intra-cloacal et ne développent pas de prostate ou de vésicules séminales.

 

Mode de vie et comportement des monotrèmes

Habitat et répartition géographique

Les monotrèmes occupent principalement les zones humides et forestières d’Australie et de Nouvelle-Guinée. Les ornithorynques sont liés aux cours d’eau, construisant leurs terriers sur les berges des rivières et des lacs, tandis que les échidnés se déplacent sur le sol, préférant les prairies et les sous-bois.

 

Alimentation et stratégies de recherche

Les monotrèmes sont omnivores et exploitent une large gamme de ressources alimentaires, terrestres et aquatiques, grâce à des adaptations morpho-sensorielles uniques.

bulletOrnithorynque : poissons, crustacés et insectes aquatiques repérés et capturés à l’aide d’un bec cornée électro-sensible sous l’eau.
bulletÉchidnés : fourmis, termites, insectes et vers attrapés avec un nez allongé et une langue collante lors de la fouille du sol.


Fouissage, terriers et abris

Les monotrèmes sont d’excellents fouisseurs, pourvus de pattes puissantes et de griffes robustes leur permettant de creuser des terriers et des tunnels complexes. Ces abris souterrains, souvent situés en zones humides, servent à la fois de refuge contre les prédateurs et de site de nidification et d’élevage des jeunes. Chez les échidnés, les chambres souterraines peuvent être profondes et remplies de moultes embranchements, offrant une isolation thermique et une protection contre les menaces extérieures.

 

Reproduction et soins parentaux

Les femelles monotrèmes pondent 1 à 3 œufs à coquille souple et les incubent hors de leur corps.

bulletChez l’ornithorynque, les œufs sont déposés dans un nid aménagé au fond du terrier, où la femelle les couve pendant environ 10 jours.
bulletChez l’échidné, l’incubation s’effectue dans une poche abdominale temporaire, durant jusqu’à 21 jours.

À l’éclosion, les jeunes sont alimentés par le lait maternel sécrété à travers des pores cutanés, assurant une croissance rapide jusqu’à leur départ du terrier

 

Régime alimentaire des monotrèmes

Aperçu général

Les monotrèmes sont principalement insectivores et carnivores, exploitant une large gamme de proies aquatiques et terrestres grâce à des adaptations sensorielles et morphologiques spécifiques.

 

Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus)

bulletSe nourrit essentiellement d’invertébrés aquatiques : vers, mollusques et insectes d’eau douce.
bulletCapture également crustacés (crevettes, écrevisses) et fragments végétaux lors de la recherche de nourriture.
bulletUtilise un bec électro-sensible pour localiser ses proies sous la boue et des pattes palmées pour fouiller le substrat et nager efficacement.
 

Échidnés (Tachyglossus aculeatus et Zaglossus spp.)

bulletCiblent principalement les fourmis et les termites, mais aussi diverses larves d’insectes et des vers de terre.
bulletCreusent le sol avec leurs griffes robustes pour débusquer les colonies d’insectes.
bulletUsent d’une longue langue gluante, recouverte d’une salive visqueuse, pour aspirer instantanément leurs proies lors du fouissage


Ces stratégies alimentaires illustrent l’adaptation fine des monotrèmes à leurs niches respectives, l’ornithorynque exploitant les milieux aquatiques tandis que les échidnés se spécialisent dans le fouissage terrestre.

 

Période et mode de reproduction et vie de couple des monotrèmes

Période de reproduction

Les monotrèmes deviennent sexuellement matures vers l’âge de 3 à 4 ans, après quoi ils participent à des saisons de reproduction bien définies.

bulletChez l’ornithorynque, la saison de reproduction s’étend généralement de juillet à octobre dans l’est de l’Australie, tandis qu’en Tasmanie elle a lieu en février.
bulletChez les échidnés, l’accouplement se produit entre avril et septembre, avec parfois jusqu’à 37 jours entre le début de la poursuite et l’accouplement effectif.

Mode de reproduction

Les monotrèmes sont ovipares et possèdent un cloaque unique commun aux systèmes digestif, urinaire et reproducteur.

bulletLa femelle pond 1 à 3 œufs à coquille mince (18 × 14 mm chez l’ornithorynque), qu’elle dépose dans un nid aménagé ou une poche cutanée temporaire.
bulletL’incubation dure environ 8 jours chez l’ornithorynque et jusqu’à 21 jours chez l’échidné, sans que la femelle ne se nourrisse pendant cette période.
bulletAprès l’éclosion, les jeunes lèchent le lait qui perle à la surface de champs mammaires dépourvus de mamelons, assurant leur croissance jusqu’à leur sortie du nid ou de la poche incubatrice.
 

Vie de couple et soins parentaux

En dehors de la saison de reproduction, les monotrèmes sont des animaux essentiellement solitaires.

bulletLors de la reproduction, les échidnés forment des « trains » de plusieurs mâles suivant une seule femelle sur plusieurs semaines.
bullet L’ornithorynque mâle n’intervient pas dans l’incubation ; la femelle reste seule à couver et à élever les jeunes dans son terrier.
bulletLes soins parentaux sont exclusivement maternels : la femelle protège le nid, assure la succion du lait par les jeunes et récupère de l’énergie en reprenant progressivement l’alimentation après l’éclosion.

 

Dimorphisme sexuel chez les monotrèmes

Vue d’ensemble

Le dimorphisme sexuel se manifeste chez les monotrèmes principalement par des différences de taille, la présence de structures spécialisées et, chez certaines espèces, des variations comportementales lors de la saison de reproduction.

Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus)

bulletTaille et poids
bulletMâle : 50–60 cm de long (dont 10–15 cm de queue), 1,5–2 kg
bulletFemelle : 40–50 cm, 0,7–1,4 kg
bulletÉperon venimeux
bulletMâle : éperon corné sur chaque patte arrière, relié à une glande à venin très active
bulletFemelle : éperon rudimentaire et glande à venin très réduite
bulletComportement reproducteur
bulletMâles engagés dans des combats à l’aide de leurs éperons
bulletFemelles seules pour l’incubation et l’élevage dans le terrier

 

Échidnés (Tachyglossidae)

bulletTaille et poids
bulletTachyglossus aculeatus (échidné à nez court) : 30–45 cm, 2–7 kg
bulletZaglossus spp. (échidnés à nez long) : jusqu’à 60 cm, 5–10 kg
bulletDifférences externes
bulletLes mâles et les femelles présentent une pilosité et des piquants très similaires
bulletAucun éperon venimeux chez les échidnés
bulletLégère variation de taille
bulletFemelles souvent un peu plus lourdes, favorisant l’incubation dans la poche abdominale temporaire
bulletComportement reproducteur
bulletFormations de « trains » de mâles lors de la quête de la femelle
bulletAucun soin paternel observé

Le dimorphisme sexuel chez les monotrèmes reste relativement modéré comparé à d’autres mammifères, mais il est crucial pour la reproduction et la compétition intrasexuelle.

 

Dangerosité des monotrèmes pour l’homme

Venin et éperons

Les mâles ornithorynques possèdent un éperon corné relié à une glande sécrétant un venin coagulant. Une piqûre provoque de vives douleurs, œdèmes et parfois une paralysie locale, pouvant durer plusieurs jours, mais n’a jamais entraîné de décès humain.

Chez les échidnés, un éperon rudimentaire existe chez le mâle, mais la glande associée est vestigiale et incapable de produire un venin actif. Les échidnés ne sont donc pas venimeux.

 

Risques de blessures physiques

bulletMorsure : les ornithorynques adultes n’ont plus de dents ; ils broient leur nourriture avec des plaques cornées. Une morsure réflexe peut blesser, mais sans gravité notable.
bulletGriffes et piquants : les échidnés sont protégés par leurs piquants dermiques et peuvent donner des coups de patte griffus en cas de menace. Ces griffures sont douloureuses mais rarement graves.

Zoonoses et transmission de maladies

À ce jour, aucune maladie grave transmissible à l’homme n’a été clairement identifiée chez les monotrèmes. Leur contact avec l’homme reste très limité et ne présente pas de risque sanitaire majeur.

 

Nage et respiration chez les monotrèmes

Les monotrèmes regroupent l’ornithorynque, véritable spécialiste de la nage, et les échidnés, nageurs beaucoup plus limités. Leur morphologie et leur comportement reflètent ces différences d’adaptation à l’eau.

Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus)

bulletMorphologie
bulletMembres antérieurs entièrement palmés, transformés en pagaies puissantes.
bulletMembres postérieurs et queue plate servent de gouvernail et de stabilisateur.
bulletMécanique de nage
bulletPropulsion alternée des pattes antérieures, chaque coup de pale génère poussée et portance.
bulletQueue et pattes arrière ajustent la trajectoire, comme un gouvernail.
bulletComportement sous-marin
bulletPlonge jusqu’à 30 secondes, yeux et narines fermés par des clapets.
bulletChasse invertébrés en “fouillant” le fond grâce à l’électrolocalisation du bec.

Échidné (genre Tachyglossus et Zaglossus)

bulletMorphologie
bulletPattes non palmées : griffes robustes adaptées au creusement, pas à la nage.
bulletCorps trapu et recouvert de piquants, ce qui augmente la traînée dans l’eau.
bulletCapacité de nage
bulletPeut nager en surface en battant les pattes antérieures et en remuant la queue.
bulletSe sert de la flottabilité naturelle de son pelage pour rester à flot.
bulletChasse occasionnelle de proies aquatiques, mais préfère éviter l’eau profonde.
bulletRôle et fonction
bulletFuite face aux prédateurs : traversée de petits cours d’eau ou lacs.
bulletJamais de longues immersions : sort rapidement, sa thermorégulation est limitée.

 

Hibernation ou hivernation chez les Monotrèmes

Hibernation vs hivernation – rappel

bulletHibernation : état de léthargie profond où température et métabolisme chutent fortement, retour à l’éveil lent et coûteux en énergie.
bulletHivernation : simple somnolence hivernale, température corporelle et métabolisme ne baissent que modérément, réveils fréquents et rapides.

Monotrèmes et hibernation

L’hibernation des mammifères se rencontre dans tous les ordres, y compris les monotrèmes et les marsupiaux. Toutefois, selon l’espèce, la stratégie hivernale varie fortement.

Échidné (Tachyglossus aculeatus)

bulletPeut entrer en véritable hibernation : longues périodes de torpeur profonde annuelles, parfois plusieurs semaines d’interruption d’activité.
bulletTempérature corporelle descend près du seuil minimal compatible avec la survie, rythme cardiaque et respiration ralentis au maximum.

Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus)

bulletNe pratique pas de vraie hibernation : reste actif toute l’année.
bulletUtilise plutôt des torpeurs journalières pour économiser de l’énergie lors des journées froides ou en cas de pénurie de nourriture.

 

Prédateurs des Monotrèmes

Ornithorynque

Les ornithorynques, semi-aquatiques et nocturnes, subissent les attaques de prédateurs tant dans l’eau que sur la terre ferme.

bulletAquatiques
bulletPoissons carnivores de grande taille (perches, esturgeons…)
bulletOiseaux pêcheurs (martins-pêcheurs, hérons)
bulletTerrestres
bulletRenards rouges (en Tasmanie)
bulletDingos et chiens errants
bulletChats sauvages

Échidnés

Les échidnés sont lentement mobiles, mais leurs piquants ne dissuadent pas toujours les prédateurs voraces.

bulletMammifères introduits
bulletRenards rouges
bulletChats domestiques et sauvages
bulletChiens errants
bulletReptiles
bulletVarans (goannas)
bulletSerpents de taille moyenne
bulletOiseaux de proie
bulletAigles (notamment le Wedge-tailed eagle)

Menaces anthropiques et indirectes

Outre la prédation naturelle, les monotrèmes pâtissent des espèces exotiques et des activités humaines :

bulletRats et opossums qui pillent les nids ou mangent les œufs
bulletDestruction d’habitats (drainage des cours d’eau, déforestation)
bulletPollution de l’eau et fragmentation des populations

 

Distribution géographique des monotrèmes

Répartition générale

Les monotrèmes sont exclusivement présents dans l’écorégion australasienne, à savoir l’Australie (continentale, dont la Tasmanie) et l’île de Nouvelle-Guinée .

Répartition par groupe et espèce

bulletOrnithorynque (Ornithorhynchus anatinus) L’espèce fréquente les cours d’eau, rivières et zones riveraines de l’Est australien, depuis les basses terres tropicales du nord du Queensland jusqu’aux rivières tempérées de Tasmanie.
bulletÉchidné à bec court (Tachyglossus aculeatus) Réparti à travers l’ensemble du continent australien et l’île de Nouvelle-Guinée, cette espèce occupe des habitats variés, des forêts aux prairies ouvertes.
bulletÉchidnés à bec long (genre Zaglossus : Z. bruijni, Z. bartoni, Z. attenboroughi) Ces trois espèces se rencontrent uniquement en Nouvelle-Guinée, où elles sont confinées aux massifs montagneux et forêts d’altitude.

Types d’habitats

bulletCours d’eau douce, rivières et berges boisées pour l’ornithorynque
bulletForêts humides, prairies et zones sylvatiques pour les échidnés terrestres

 

Genre

Familles Espèces Distribution géographique Description
Ornithorhynchus Ornithorynchidés 1 espèce    
Tachyglossus Tachyglossidés 1 espèce    
Zaglossus Tachyglossidés 3 espèces    

 

Nom Famille Distribution géographique Description
 Ornithorynque (Ornithorhynchus anatinus) Ornithorynchidés   env 50 cm, 1,5-1 kg
Echidné d'Australie (Tachyglossus aculeatus) Tachyglossidés   35-50 cm, 2,5-7kg 
Echidné à long nez (Zaglossus bruijni) Tachyglossidés   77-90 cm, 5-15 kg 

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Nom usuel Genre espèce Environnement princ. Statut Photos Famille Distribution
Ornithorynque Ornithorhynchus anatinus Fleuves, rivières Quasi menacé Ornithorynchidés Est de l'Australie, Tasmanie
Echidné à nez court, ou de Tasmanie Tachyglossus a. setosus Forêts tempérées Stable Description de cette image, également commentée ci-après Tachyglossidés Australie et alentour